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18 septembre 2012 2 18 /09 /septembre /2012 22:26

ORDRE DU JOUR

1.      Syndicat Mixte du bassin du Gave de Pau : prise en compte de la compétence « qualité des milieux aquatiques

2.      Société de Chasse Communale : demande de subvention exceptionnelle

3.      Règlement de fonctionnement Crèche : approbation du règlement de fonctionnement

4.Suppression de la notation et mise en place des entretiens d’évaluation

5.      Création de 2 emplois d’adjoint technique de 2ème classe à temps non complet

6.      Autorisation de travail à temps partiel d’un rédacteur chef

 

7.      Création d’emplois non permanents à temps non complet

8.      Transformation d’un emploi d’assistant de conservation du patrimoine et des bibliothèques principal
de 2ème classe en un emploi d’assistant de conservation du patrimoine et des bibliothèques principal de 1ère classe

9.      Transformation des Contrats à durée Déterminée en Contrats à Durée Indéterminée

10.  Commission Locale d’Evaluation des charges transférées (CLECT) : approbation du procès verbal 2012

11.  Centre Communal d’Action Sociale : rapport d’activité 2011

12.  Société d’Equipement des Pays de l’Adour : Présentation pour approbation du rapport annuel 2011

13.  Syndicat Intercommunal d’Eau Potable de la région de Jurançon : rapport annuel sur le prix et la qualité du service public de l’eau potable et rapport annuel du délégataire 2011

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18 septembre 2012 2 18 /09 /septembre /2012 22:22

1.       Syndicat  Mixte du bassin du Gave de Pau : prise en compte de la compétence « qualité des milieux aquatiques

 

Monsieur le Maire informe que le Conseil Municipal dans sa séance du 26 juin 2012, et par délibération n°2012-40, a approuvé l’adhésion de la Commune de Jurançon au Syndicat Mixte du Bassin du Gave de Pau, et ce, suite à la dissolution du Syndicat Intercommunal du Néez.

 

Dans le cadre de l’adhésion au Syndicat Mixte du Bassin du Gave de Pau, il y a lieu de prendre en compte la compétence «qualité des milieux aquatiques » dans les actions qui seront menées en partenariat avec le Syndicat Mixte.

 

Cette compétence garantira la compatibilité des actions menées par le Syndicat Mixte avec les objectifs de « bon état écologique des milieux  aquatiques » préconisés par la Directive Cadre Européenne. Cette notion de qualité des milieux aquatiques conduira donc le Syndicat mixte à intervenir :

-       En matière d’études relatives sur la qualité des milieux aquatiques dont la finalité pourra être la mise en place de dispositifs de suivi adaptés sur le bassin du Gave de Pau (stations de mesures),

-       En matière de travaux intégrant des mesures de protection des milieux aquatiques (espèces « Natura 2000 » notamment) à l’échelle du bassin du gave de Pau.

 

Monsieur le Maire proposera de délibérer pour inclure cette compétence dans les partenariats futurs avec le Syndicat Mixte du bassin du Gave de Pau.

 

 

2.       Société de Chasse Communale : demande de subvention exceptionnelle

 

La Société de Chasse Communale sollicite l’attribution par le Conseil Municipal, d’une subvention exceptionnelle de 400  pour participer à l’achat de matériels divers (matériel de piégeage, matériel éducatif destiné aux interventions que l’association est amenée à effectuer auprès des écoles).

 

Il sera donc demandé au Conseil Municipal :

-          d’allouer à l’association « Société de Chasse Communale » une subvention exceptionnelle de 400 pour l’achat de matériel,

-          d’imputer cette dépense à l’article 6574 du budget communal où sont inscrits les crédits nécessaires.

 

 

3.       Règlement de fonctionnement Crèche : approbation du règlement de fonctionnement

 

 

Le Conseil Municipal, dans sa séance du 21 Février 2005, avait approuvé la contractualisation avec la Caisse d'Allocations Familiales (CAF), du nouveau dispositif de financement pour la Prestation de Service Unique (PSU) des structures d'accueil des enfants de moins de 4 ans.

La CAF  a, depuis, modifié la règlementation de la P. S. U.. Cette modification porte essentiellement sur  des participations familiales et sur les modalités d'application. Cette mise à jour a abouti à la réédition du livret de la PSU. 

 

Il convient donc de soumettre à l'assemblée délibérante le nouveau règlement de fonctionnement de la Crèche Municipale (joint en annexe), règlement reprenant les nouveaux principes règlementaires de la Prestation de Service Unique.

 

 

4.       Suppression de la notation et mise en place des entretiens d’évaluation

 

L’article 76-1 de la loi du 26 janvier 1984 relative à la fonction publique territoriale permet, à titre expérimental sur les années 2010, 2011 et 2012, de fonder l’appréciation de la valeur professionnelle des fonctionnaires sur un entretien professionnel qui se substitue à la notation. Cet article précise que la valeur professionnelle sert de base notamment pour le choix des fonctionnaires pouvant bénéficier d’un avancement ou d’une promotion interne.

 

Sur cette période expérimentale, la mise en place est facultative et peut concerner tout ou partie du personnel. Il appartient à l’assemblée délibérante de se prononcer sur le principe de la mise en place des entretiens professionnels et, le cas échéant, de définir les catégories de personnels concernés.

 

La Commune souhaite s’inscrire dans une démarche globale de professionnalisation et de modernisation des outils de gestion des ressources humaines. A ce titre, les fiches de poste des agents de la Commune ont été mises à jour dans l’année 2012.

 

Afin de poursuivre cette démarche, Monsieur le Maire proposera d’instaurer les entretiens professionnels qui se substitueront à la notation à partir de l’année 2012 pour l’ensemble des agents de la collectivité (titulaires de la fonction publique territoriale et contractuels).

 

Dans le cadre de la mise en œuvre des entretiens professionnels, la Commune bénéficiera de l’accompagnement du Centre de Gestion de la Fonction Publique Territoriale des Pyrénées-Atlantiques.

 

Conformément à la réglementation, le Comité Technique Paritaire a été saisi pour avis le 17 septembre dernier.

 

Monsieur le Maire proposera donc à l’assemblée municipale :

-          d’adopter le principe de la mise en œuvre d’entretiens professionnels venant se substituer à la notation dès 2012,

-          de considérer que l’ensemble des agents publics de la Commune seront concernés.

 

 

5.       Création de 2 emplois d’adjoint technique de 2ème classe à temps non complet

 

Il sera proposé de créer 2 emplois contractuels d’adjoint technique de 2ème classe à temps non complet pour assurer la sécurité des enfants aux abords des 2 groupes scolaires.

Ces agents assureraient leur fonction à raison de 3 heures par semaine de 8h15 à 8h45 et de 16h45 à 17h, l’un à la rue de Borja et l’autre à l’avenue Gaston Cambot, durant l’année scolaire 2012-2013.

Le temps de travail serait de 2,75/35ème.

 

Ces agents non titulaires seront rémunérés sur la base de l’indice afférent au 1er échelon du grade d’adjoint technique de 2ème classe.

 

Il sera proposé à l’assemblée délibérante, de créer deux emplois d’adjoint technique de 2ème classe contractuels à temps non complet à hauteur de 2,75/35ème pour l’année scolaire 2012-2013.

 

Les crédits nécessaires sont inscrits au Budget Primitif 2012.

 

 

6.       Autorisation de travail à temps partiel d’un rédacteur chef

 

Un rédacteur chef affecté au service du personnel demande à bénéficier d’une autorisation de travail à temps partiel à hauteur de 80% d’un temps complet à compter du 1er octobre 2012 pour une durée d’un an.

 

Il sera demandé à l’assemblée délibérante de répondre favorablement à cette demande.

 

 

7.       Création d’emplois non permanents à temps non complet

 

Monsieur le Maire exposera à l’assemblée que la fréquentation des services périscolaires pour l’année scolaire 2012/2013 nécessite l’emploi d’agents supplémentaires. De ce fait et afin de respecter la réglementation en matière d’encadrement, il sera nécessaire de faire appel à des agents contractuels.

 

Ces agents contractuels interviendront en fonction du nombre d’enfants inscrits aux accueils périscolaires et de l’application des normes d’encadrement.

 

Il sera alors proposé au Conseil Municipal :

-          de créer 7 emplois non permanents à temps non complet d’adjoint d’animation de 2ème classe nécessaires au fonctionnement des accueils périscolaires durant les semaines scolaires de l’année scolaire 2012/2013.

 

Les agents non titulaires ainsi recrutés seront rémunérés sur la base de l’indice afférent au 1er échelon du grade d’adjoint d’animation de 2ème classe.

 

Les crédits nécessaires sont inscrits au BP.

 

 

8.       Transformation d’un emploi d’assistant de conservation du patrimoine et des bibliothèques principal de 2ème classe en un emploi d’assistant de conservation du patrimoine et des bibliothèques principal de 1ère classe

 

Monsieur le Maire informera l’assemblée qu’un assistant de conservation du patrimoine et des bibliothèques principal de 2ème classe est inscrit sur la liste d’aptitude au grade d’assistant de conservation du patrimoine et des bibliothèques principal de 1ère classe au titre de l’avancement de grade pour l’année 2012. La Commission Administrative Paritaire compétente pour les fonctionnaires de catégorie B a émis un avis favorable le 5 juin 2012 sur l’avancement de cet agent au grade d’assistant de conservation du patrimoine et des bibliothèques principal de 1ère classe au 1er mai 2012.

 

Compte tenu des besoins en personnel qualifié, Monsieur le Maire proposera à l’assemblée la transformation d’un emploi d’assistant de conservation du patrimoine et des bibliothèques principal de 2ème classe en un emploi d’assistant de conservation du patrimoine et des bibliothèques principal de 1ère classe.

 

Les crédits nécessaires sont inscrits au Budget Primitif 2012.

 

 

9.       Transformation des Contrats à durée Déterminée en Contrats à Durée Indéterminée

 

L’article 21 de la loi du 12 mars 2012 institue une obligation pour l’employeur territorial de proposer aux agents contractuels la transformation de leur contrat à durée déterminée en contrat à durée indéterminée, à la date de publication de la loi, soit le 13 mars 2012.

Tout employeur territorial est dans l’obligation de proposer à un agent public en contrat à durée déterminée un contrat à durée indéterminée, dès lors qu’il satisfait aux conditions suivantes :

 

-          être en fonction ou bénéficier d’un congé, rémunéré ou non, pris en application du décret n° 88-145 du 15 février 1988 modifié relatif aux agents non titulaires de la fonction publique territoriale.

-          Avoir été recruté sur le fondement de l’article 3 de la loi n°84-53 du 26 janvier 1984, quel que soit le temps de travail dont est doté l’emploi,

-          Compter une ancienneté de services minimale. La durée de services publics effectifs doit être égale à 6 années au moins au cours des 8 années précédant la date du publication de la loi soit du 13 mars 2004 au 12 mars 2012. Cette durée est abaissée à 3 ans au cours des 4 années précédant la date de publication de la loi soit du 13 mars 2008 au 12 mars 2012 pour les agents âgés d’au moins 55 ans à cette date.

 

Deux agents, assurant des remplacements au sein du service entretien et du service centre de loisirs – périscolaires, répondent aux conditions fixées par cette loi.

 

Il est proposé de transformer ces 2 contrats à durée déterminée en 2 contrats à durée indéterminée d’une durée de 14 h/semaine. Les deux agents seront rémunérés sur le grade d’adjoint technique de 2ème classe au 1er échelon du grade. Ces agents devront accepter toutes les demandes d’intervention de remplacements d’agents momentanément indisponibles quel que soit le service. Le temps de travail pourra être annualisé afin d’arriver à une moyenne annuelle d’au moins 14 heures par semaine.

 

 

10.    Commission Locale d’Evaluation des charges transférées (CLECT) : approbation du procès verbal 2012

 

Le rapporteur porte à la connaissance de l’assemblée municipale le contenu du procès verbal de la Commission Locale d’Evaluation des charges transférées (CLELT) de la Communauté d’Agglomération Pau Pyrénées (rapport joint en annexe) du 13 avril 2012 portant essentiellement sur la validation des questions suivantes :

-          le transfert de la compétence tourisme :
montant total des charges transférées : .......................................... 1.312.082


-          le transfert de la compétence sport de haut niveau / transfert des subventions des clubs professionnels de la Ville de PAU et de la Ville de BILLERE :
montant total des charges transférées : ............................................. 584.400


-          le transfert du Parc des Expositions de PAU :
montant total des charges transférées : ............................................. 278.145


-          le transfert en matière culturelle :
montant total des charges transférées : ............................................. 583.127


-          le transfert de la participation financière au SDIS :
montant total des charges transférées : .......................................... 4.604.729


-          le transfert de la participation financières à Touskiflot :
montant total :               25.000


-          le transfert complémentaire de la compétence habitat au 01/01/2013 :
montant total :               152.148
.

 

 

11.    Centre Communal d’Action Sociale : rapport d’activité 2011

 

Le rapport d’activité 2011 du Centre Communal d’Action Sociale a été présenté et approuvé en Conseil d’Administration le 11 juin 2012. Ce rapport (joint en annexe) constitue un bilan synthétique des activités  du Centre Communal d’Action Sociale. Le rapport d’activité 2011 du Centre Communal d’Action Sociale sera présenté pour information, à l’assemblée municipale.

 

 

12.    Société d’Equipement des Pays de l’Adour : Présentation pour approbation du rapport annuel 2011

 

Le rapport d’activité 2011 (ci-joint) présenté par la SEPA sera soumis au vote du Conseil Municipal, pour approbation, conformément à l’article L 1524-5 alinéa 7 du Code Général des Collectivités Territoriales, qui prévoit que les organes délibérants des Collectivités Territoriales et de leurs groupements actionnaires de SEM se prononcent, au moins une fois par an, sur le rapport qui leur est soumis par leurs représentants.

 

 

13.    Syndicat Intercommunal d’Eau Potable de la région de Jurançon : rapport annuel sur le prix et la qualité du service public de l’eau potable et rapport annuel du délégataire 2011

 

Le rapport annuel 2011 sur le prix et la qualité du service public de l’eau, transmis par le Syndicat Intercommunal de l’Eau Potable de Jurançon, a été porté à la connaissance des conseillers municipaux (document mis à la disposition des élus, pour consultation, au secrétariat de Monsieur le Maire).

 

Ce document informatif est très utile car il contient un ensemble d’informations quantitatives et qualitatives  particulièrement importantes concernant notamment  l’exploitation du service et les investissements réalisés au cours de la période concernée.

 

Le Conseil Municipal devra prendre acte de la communication de ce rapport annuel.

 

 

 

Le Maire,

Michel BERNOS

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9 avril 2012 1 09 /04 /avril /2012 22:15

Monsieur Le Maire,

Mes chers Collègues,

 

En moins d’une semaine, le Conseil Municipal que nous formons se sera prononcé sur le compte administratif de l’année 2011, les orientations budgétaires 2012, sur les budgets de fonctionnement et d’investissement de 2012, et enfin sur les subventions municipales.

Mardi dernier, chacun de nous vous a entendu, Monsieur Le Maire,  regretter ce rythme bien peu conforme à l’esprit de la loi, rappelé par René LAHILLONNE, et attribuer très directement ce dévoiement à la révision générale des politiques publiques, autrement dit à la désorganisation des services de l’État. Personne ne vous ayant contredit, je pense que tous les conseillers municipaux partagent ce diagnostic.

Le débat d’orientation budgétaire a néanmoins permis, et c’est son rôle, à tous les élus municipaux de prendre conscience d’un certain nombre de réalités. J’en citerai 4 :

*La maîtrise des dépenses de fonctionnement : elle est attendue grâce à des choix clairs, notamment le gel de 10 emplois équivalent temps plein, certes pour partie compensé par des contrats précaires, précarité dont vous nous dites, par ailleurs, en qualité de Président du CCAS, mesurer les conséquences sociales et humaines. D’autres choix sont plus discrets, comme par exemple, le peu d'incitation pour les jurançonnais à la rénovation des façades 

*Deuxième réalité : un montant prévisionnel d’investissement particulièrement élevé, fruit du report des opérations non réalisées en 2011, autrement dit du bénéfice tiré de la non-exécution des décisions du Conseil Municipal pourtant, le plus souvent, unanime sur les besoins à satisfaire ou sur les nécessités à prendre en compte dès lors qu’il s’agit de l’intérêt général ;

*Troisième réalité : l’inutilité d’augmenter la fiscalité communale. Nous étions seuls, les 7 conseillers municipaux de l’Opposition, à vous le dire dès 2008 (2008 1%//2009 3%//2010 0% //2011 1%). Vous en convenez en 2012,  certes quatre ans plus tard, mais vous nous avez annoncé que cela sera toujours vrai en 2013, et mon petit doigt me dit que rien ne changera, de ce point de vue-là en tous cas, en 2014. Nous allons donc vivre, à l’appel du vote des différentes taxes, un moment singulier : nous serons majoritaires et vous ferez l’unanimité.

*Dernière réalité : apprécier l’évolution des dépenses inscrites au budget, se fait toujours en regard aux recettes escomptées. En matière de fonctionnement,  l’évolution des bases d’imposition fournit un précieux oxygène, et tant mieux. C’est là, pour l’essentiel, le fruit de la construction de logements, issus des différents programmes initiés, pour la plupart, depuis 10 ans. Cette  politique, que vous avez poursuivie, a des effets financiers positifs qui se retrouvent dans les ressources de la section d’investissement.

Chaque conseiller municipal est donc appelé ce soir à se prononcer sur votre projet de budget. La démocratie nous offre 3 possibilités, chacune étant tout à fait respectable dès lors qu’elle est délibérée :

Voter pour, autrement dit partager chacun de vos choix. Ceux qui sont explicites, comme les autres ;

S’abstenir, autrement dit, émettre des réserves sur certains de vos choix, sans pour cela remettre en cause l’architecture générale de votre projet de budget ;

Voter contre, autrement dit considérer que vos choix principaux ne sont pas les bons. En matière de fonctionnement, c’est là notre position.

 

Quant aux investissements, certaines appellent des réserves dans le dérapage financier comme la Chapelle de Rousse, d’autres semblent masquer des reculs que nous jugeons tout à fait regrettables la sécurisation du Néez, quant au projet Oudoul, vous souhaitez si nous avons bien compris y faire un site culturel or dans ce cas il  relève de la compétence communautaire.

Ses réserves nous conduiront donc monsieur le Maire à voter contre votre budget 2012

En ce qui concerne les subventions aux associations nous voterons pour,

Je vous remercie de votre attention.

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21 mars 2012 3 21 /03 /mars /2012 22:19

Nos propos concerneront le compte administratif et  les orientations budgétaires dont un historique sur la zone du Vert Galant

 

Dans les propos introductifs de votre document vous parlez d'un contexte économique et social très tendu, de la crise de confiance profonde en l'avenir et de la dette publique qui aujourd'hui représente le 1er poste budgétaire de l'état.

Pour nous, ce n'est pas seulement une crise des finances, mais une crise globale qui se décline au niveau économique, financier, social et écologique.

 

En ce qui concerne notre commune lorsque nous regardons

 Les chiffres  du bilan  2011  ils pourraient nous laisser croire à une politique volontariste d'économie sur différents postes mais en réalité il s'agit d'une sous activité  sur les  investissements par rapport à ce qui avait été annoncé ainsi que dans le domaine fonctionnement sur les travaux  de voirie et sur le personnel permanent.

Donc ce n'est pas spectaculaire !

 

-En fonctionnement c'est  donc sur la voirie et sur le personnel permanent que vous faites des économies.

 

-L'entretien de la voirie : un domaine où on sait qu'il y a des besoins on note un net ralentissement de l'activité  Prévisions de travaux pour un montant de 140000€ et seulement 73000€ de travaux  réalisés là vous récupérez  67000€ qui vous permettent de rééquilibrer le chapitre où carburant, électricité entretien de matériel roulant progressent.

Or, dans le domaine de la voirie on sait que ce qui n'est pas fait aujourd'hui aura un coût plus important demain.

 

-En ce qui concerne le personnel

On note une baisse conséquente sur le montant global  de la  rémunération du personnel permanent

Vous avez  surtout tardé à recruter. Les postes sont restés vacants plusieurs mois et encore  à ce jour certains ne sont pas pourvus

 

-Par contre sur le personnel non permanent on note une augmentation de 48% entre 2009 et 2011. C'est votre politique salariale nous direz-vous.

Mais  s'il y a autant d'agents non permanent c'est que le personnel titulaire ne peut plus assurer l'ensemble des tâches, car les installations pour les différentes manifestations  prennent du temps, d'où également l'augmentation des prestations de services alors que vous souhaitiez travailler en régie

Vous nous aviez dit que les heures de personnel mises à disposition des associations devaient être chiffrées. Qu'en est-il aujourd'hui ?

Vous aviez pourtant commencé, puisque vous aviez chiffré et facturé cette prestation pour l'organisation de la semaine bleue en 2010 avez-vous élargi à d'autres associations?

 

-Le coût de l'entretien des terrains reste élevé.  D'autant que cette année il y a eu un terrain en moins  à entretenir, le stade municipal et le terrain synthétique dont l'investissement important avait pour  but moins d'entretien  Comment l'expliquez-vous ? Car on aurait pu attendre une économie plus conséquente par rapport à l'investissement fait.

-Frais de télécommunications j'avais relevé sur le site de la mairie l'appel d'offre du renouvellement de la flotte des mobiles et j'attends toujours la convocation de la commission d'appels d'offres à moins que vous m’ayez  oubliée. Là aussi c'est une commission déclarée mais qui  fonctionne aléatoirement.

 

-En ce qui concerne les fournitures administratives, une suggestion : les invitations et les quelques réunions de commissions pourraient être transmises par internet, pour ceux et celles qui possèdent une adresse électronique, on réaliserait une économie de papier et d'affranchissement et on gagnerait dans la rapidité de la circulation de l'information. C'est une proposition.

 

-Fêtes et cérémonies comme annoncé le saupoudrage des dépenses  dans différentes lignes budgétaires dilue la réalité qui avoisine les dépenses de 2010 

 

-Ce que l'on peut  remarquer  aussi c'est la baisse plus que sensible des dotations de l’État mais également la baisse des droits de mutations

En ce qui concerne la principale dotation perçue de l’État, la dotation globale de fonctionnement, En 2011, et à priori jusqu’en 2015, l’évolution globale  est fixée à 0 %.

 

Le compte administratif mais en exergue une épargne de gestion pour 2011 essentiellement alimentée par une sous activité,  les travaux de voirie non réalisés et sur le personnel permanent non remplacé, c'est votre politique salariale nous direz-vous

 Mais votre politique salariale est en adéquation avec la politique gouvernementale  eux c'est  moins de fonctionnaires et  vous c'est moins d'agents territoriaux

 

 

En ce qui concerne les investissements le taux de réalisation est 43%   MAIS si on ne tient compte que des équipements on est en dessous de 40% de réalisation c'est  là aussi une sous activité par rapport à ce qui a été annoncé.

On peut noter  que lorsque les résultats sont honorables on a droit à de magnifiques graphiques mais cette année point de diagramme

La question que l'on peut se poser : pour  un  taux  aussi bas de réalisation  donc une sous-utilisation des crédits était-il nécessaire d'augmenter les impôts des ménages en 2011 de 1% ?

 

Les projets

 

-la ZAC du Vert Galant (voir ci-aprés)

 

-la porte du terroir est devenue la maison du terroir  cela sera-t-il un projet communautaire tout comme Oudoul

 Les viticulteurs indépendants vont-ils adhérer à ce  projet?

 

-L'aménagement du centre de tri, qui était le préau de l'école communale des garçons, sera aménagé  pour les services techniques, à priori les agents disposeront  de moins de superficie qu'actuellement pour les accueillir.

Ce n'était pas notre choix, et il nous semble plus fonctionnel et plus approprié de trouver dans ce rez-de-chaussée la salle de mariage  ou de réception.

 

 

-Extension et travaux à la crèche : l’étude n'a pas été réalisée en 2011 or depuis on sait que  la petite enfance va être transférée à la CDAPP. Est-il opportun de faire les travaux ? Quel est le plus avantageux pour notre commune ? Transfert du bâtiment et du personnel avec ou sans les travaux? Quelle est la situation de ce dossier aujourd'hui à la CDA ? Et quel est votre point de vue ?

 

-Nous partageons la volonté d'apporter au CCAS les moyens nécessaires pour ses actions en espérant que les besoins ne vont pas croître  car l'augmentation du gaz et de l'électricité va  peser lourd dans le budget des ménages.

 

En conclusion dire que le budget d'investissement  2012 augmente de 23,5% ce n'est pas la réalité

Car  40% des  3,634 d'investissement annoncés   soit 1,473 correspondent à des travaux  qui n'ont pas été réalisés en 2011 cette somme est  donc réinvestie

Ce sont  2,161 d'investissements nouveaux pour 2012 sachant aussi que le montant de l'emprunt sera de 1,100 un encours de la dette qui baisse oui, le désendettement ,oui mais seulement  40%  de travaux réalisés par rapport aux prévisions 2011.


ZAC du Vert Galant, historique:


La fin de la convention qui nous lie avec la SEPA a pris effet  31/12/2011

Cette inscription budgétaire, aujourd’hui, n'est pas due a une  négligence des précédentes municipalités, comme nous avons pu l'entendre ici ou là  mais est un jeu d'écriture.

Ce que valait la ZAC en 1995 a été déprécié et aujourd'hui, l'opération est déficitaire. Les emprunts ayant été garantis par la commune celle-ci  se doit donc de provisionner en cas de perte le manquement de vente du terrain à la SEPA.

 

 Suite à la création du bassin écrêter,  financé  conjointement avec Gan et le concours de la SEPA , votre prédécesseur Louis Lucchini s'est rendu chez le préfet car il souhaitait une  nouvelle prise des hauteurs le long du cours d'eau, comme cela a été fait à Gan pour la cave coopérative,  dossier porté  par la chambre d'agriculture auprès du préfet, pour  le terrain Bourdeu où ,on se souvient les troncs d'arbres  nageaient lors des crues ,

Cette opération aurait dû nous aider car il convient d'apporter la preuve de l'erreur de la non-valeur de l'altimétrie. Car l'erreur reconnue à Gan  peut l'être à Jurançon,

 

D'autant que de mémoire une grande partie de la zone touchée par le PPRI n'a jamais été inondée

Comment expliquer que le pont d'Oly d'un côté est en zone rouge de l'autre non ?

 

Mais à ce jour ni nous ni vous n'avons pu franchir cet obstacle

 

Si l'affaire n'est pas terminée il ne faut pas oublier dans ce projet la duplicité de l’État qui met en place un PPRI et qui parallèlement via  la DDE service d’État  conçoit le lotissement.

 

On est toujours resté sur le fait, mais le fond de cette affaire :

 Cette affaire a très mal menée depuis le départ. De mauvais choix ont été faits par  manque de courage ou frilosité mais la perte  financière, elle, est réelle, à cause du PPRI.

Il ne faut pas oublier que le lotissement était aménagé égouts éclairage vous le savez Monsieur le Maire vous étiez conseiller à ce moment-là. De plus  le taux des emprunts était élevé à l'époque : 10%

 

Si on doit parler d'erreur  sur cette opération c'est par exemple

 

Comment ne pas regretter le projet non abouti du centre Leclerc le compromis de vente avait été signé et l'acompte versé et non restitué. Il faut dire que la municipalité en place à ce moment-là ne lui a pas facilité la tâche. Leclerc qui s'engageait à aménager le rond-point sur la RN 134 nous aurions peut-être pu ainsi aménager  le rond-point de la fromagerie des chaumes  et à l'arrière en parallèle de la 134 un chemin pour sécuriser l'accès des riverains car pour cette nationale l’État promet mais ne fait rien,

 

            Comment ne pas regretter encore le départ de l'entreprise Michaud qui de par son essor connaissait des difficultés d'accès sur les coteaux de Guindalos  cette entreprise véritable locomotive industrielle avec la fromagerie des chaumes sur notre commune apportait à la commune la TP + taxe de transport.

Michaud  ne voulait pas acheter mais souhaitait  un bail emphytéotique >> revenu pour la commune mais la frilosité de l'équipe en place  a fait que Michaud s'est installé à Gan

 

            -En 2006 nous avons dû signer les actes notariés qui n'avaient pas été faits lors du redressement du Néez,  des riverains avaient cédé du terrain et la mise à jour n'avait pas été faite

            Que dire  du loupé de la rocade avec 2 ponts + la voie ferrée à traverser : notre baïonnette,   

 

     ou encore du  manque de dynamisme lors de la commercialisation de ce lotissement, C'est suite à une intervention de nos collègues qui étaient dans l’opposition à l'époque que des panneaux de promotion ont été mis en place, Mais seulement 2 lots de vendus avant la mise en place du PPRI, Il aurait fallu secouer la SEPA avant ces événements

 

Il y a aussi la SEPA qui a versé une participation financière à l'association des fouilles archéologiques pour la sauvegarde des mosaïques mises à jour lors de la déviation du Néez et qui aujourd'hui font l'admiration,,,,,,,,,, des visiteurs de la cave de Gan  car la commune a refusé de les acheter!

 

Nous savons aussi que le pont du Néez fait obstacle à l'écoulement des eaux Il faudrait lors des travaux relever le pont mais surtout canaliser une partie du Néez à l'embouchure du gave afin de préserver la zac Hermann en aval,

 

Par contre nous affirmons que la gestion de l'eau doit se faire pour l'ensemble du bassin versant des fleuves et non sur des tronçons  ce qui avait été demandé par votre prédécesseur,

 

La création des jardins familiaux nous permet aujourd'hui de ne pas avoir une friche dans ce quartier

Mais dans cette affaire il reste encore des terrains utilisables sous certaines conditions et nous avions envisagé de les utiliser pour l'entreprise SACER  nous avons appris récemment que celle-ci s'installait à Lons.

Et puis Monsieur le Maire il y a certaines pratiques qui consiste à recharger le terrain le stabiliser en supprimant les fossés d'écoulement comme l'ont fait certains,

 

Donc nous le disons et nous le répétons ce n'est pas une négligence mais un jeu d’écriture.

 N'oublions pas que la SEPA agissait pour le compte de la commune et que tout le risque financier de l'opération repose totalement sur la commune, comme le prévoit la convention de concession.

On peut cependant regretter qu'au départ de cette opération un budget annexe n'ait pas été mis en place ce qui aurait permis d'apprécier chaque année la situation financière de la ZAC

La mise en place du PPRI est la cause principale du déficit constaté.

 Mais pour nous l'affaire n'est pas terminée et nous espérons que vous, et  nous, nous battrons pour faire modifier cette décision et obtenir de nouvelles mesures d'altimétrie et ainsi redonner à cette zone toute sa potentialité.

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5 décembre 2011 1 05 /12 /décembre /2011 22:05

 

 

1.     Schéma directeur et charte des aménagements cyclables de l’agglomération

 

 

Le développement de l’usage du vélo est expressément prévu par le Plan de Déplacements Urbains de la Communauté d’Agglomération de Pau Pyrénées dans son action 1.8 « réaliser un réseau vélo ».

 

La création de ce réseau se traduit par l’établissement d’un schéma directeur des aménagements cyclables desservant l’ensemble des communes de l’agglomération et par la mise en place d’actions d’accompagnement comme la location de vélos, à l’échelle de l’agglomération.

 

L’objectif est à la fois de répondre à un besoin en terme d’aménagements cyclables, exprimés par les cyclistes urbains, d’inciter le cycliste occasionnel à prendre plus régulièrement son vélo et de permettre au non cycliste de découvrir un nouveau mode de déplacements.

 

La Communauté d’Agglomération de Pau Pyrénées a donc lancé, dès 2008, une étude pour l’élaboration d’un schéma directeur des aménagements cyclables et la mise en place d’un système de prêt de vélos et a recruté la société INDDIGO-ALTERMODAL pour la mener. Cette étude est arrivée à son terme.

 

La mission 1 de cette étude relative aux aménagements cyclables a permis d’établir : un diagnostic de la pratique du vélo sur l’agglomération et des aménagements existants :

 

-          un schéma directeur des aménagements cyclables avec une hiérarchisation des priorités et par catégories d’aménagements,

-          une étude approfondie de points durs sur 37 km de voies du schéma directeur,

-          une charte des aménagements cyclables destinée aux techniciens des communes de l’agglomération.

 

La mission 2 de cette étude relative aux systèmes de prêts de vélos a consisté en la production :

-          d’un rapport sur les systèmes de prêts de vélos existant aujourd’hui en France avec un comparatif sur la faisabilité de 3 hypothèses de services sur Pau,

-          d’un cahier des charges qui permettra notamment d’analyser les offres issues de la Délégation de Service Public (DSP) pour le  Transport en Commun (TC), intégrant une option vélo et de négocier en orientant les propositions vers le système souhaité.

 

Chacun de ces résultats a fait l’objet au préalable de présentations réalisées par le prestataire et d’une série d’entretiens avec les associations d’usagers vélos, les techniciens des communes de l’agglomération, et les élus  au sein notamment de la commission déplacements-voirie et, plus récemment de la commission de travail vélo (élus référents vélo).

 

Mise en œuvre du schéma directeur et de la charte des aménagements cyclables

 

Le conseil communautaire a approuvé le 6 mai 2009 le schéma directeur et la charte des aménagements cyclables.

 

Par ailleurs, la désignation d’élus référents vélo par certaines communes de l’agglomération au sein d’une commission de travail vélo démontre l’implication de ces communes pour le développement de l’usage du vélo sur le territoire communautaire.

 

La commission de travail a manifesté le souhait, pour appuyer cette volonté, que chaque commune approuve par délibération ces documents.

 

Un travail sur les critères d’attribution des fonds de concours aux communes réalisant le schéma directeur des aménagements cyclables est nécessaire.

 

Enfin, il est également très important, pour porter ce schéma, de communiquer notamment avant la mise en place de certains aménagements particulièrement innovants, et alimenter une page internet dédiée au vélo renseignant l’usager (emplacements de stationnement, axes aménagés, …).

 

Il sera donc proposé au conseil municipal :

 

-          d’approuver le schéma directeur et la charte des aménagements cyclables de l’agglomération,

-          et d’autoriser Monsieur le Maire à signer l’ensemble de ces documents.

 

(En raison du volume, ce dossier est à la disposition des élus au secrétariat de Monsieur le Maire).

 

 

2.     Transfert du Parc des Expositions de Pau à la Communauté d’Agglomération Pau Pyrénées

 

Le contexte et les enjeux

 

La Communauté d’Agglomération Pau Pyrénées a défini un nouveau cap pour ses dix ans d’existence « Pau Porte des Pyrénées » en affirmant à la fois une identité géographique, culturelle et sociale, et en exprimant une ambition forte et simple : construire un territoire vivant, modèle de développement durable au pied des Pyrénées entre Atlantique et Garonne, avec les collectivités partenaires.

 

Le potentiel économique qu’offre la destination « Pau Porte des Pyrénées », permet d’ambitionner l’émergence d’une filière touristique d’excellence en s’appuyant plus particulièrement sur le tourisme d’affaires.

 

A l’occasion des Débats d’Orientation Budgétaire 2010 et 2011, pour favoriser l’attractivité et le rayonnement de l’agglomération, la CDAPP a affirmé l’ambition de construire une stratégie visant à un objectif de mise en synergie des 3 équipements répondant au marché de l’industrie de la réunion et de l’incentive (Palais des Congrès), au marché des salons professionnels et grands publics (le Parc des Expositions) et au marché du divertissement (le Zenith).

 

Le territoire « Pau Porte des Pyrénées » est identifié parmi les quatre pôles principaux de tourisme d’affaires d’Aquitaine. Ce segment d’activité qualifié d’industrie des rencontres et évènements professionnels connaît une croissance élevée mais également une concurrence de plus en plus forte. En effet, les destinations « affaires » se multiplient tant au niveau français qu’à l’international et une offre de plus en plus qualitative se constitue. Les retombées économiques pour les territoires sont importantes : à titre comparatif en Aquitaine, un touriste en vacances dépense en moyenne 43 € par jour contre 104 € par jour dans le cadre d’un déplacement professionnel.

 

Le Parc des Expositions de la Ville de Pau est l’un des équipements structurants du territoire en matière de tourisme d’affaires. Il accueille environ 250 manifestations par an, sa gestion, son rayonnement au-delà du territoire proche le positionne comme un véritable outil de développement économique. Néanmoins, le parc actuel qui date des années 1960 ne semble plus adapté aux exigences modernes. L’aménagement d’un nouveau parc sur un espace plus vaste et surtout plus accessible est d’ailleurs régulièrement évoqué. Dans cette optique, le Bureau des Maires du 27 septembre 2010, s’est prononcé favorablement sur le principe d’étudier le transfert du parc des expositions actuel de la Ville de Pau à la Communauté d’Agglomération qui pourrait également porter le projet de construction d’un nouveau parc.

 

La définition de la compétence

 

Pour ces motifs, la Communauté d’Agglomération par délibération du 29 septembre 2011, a décidé de se doter, à compter du 1er janvier 2012 et au titre de ses compétences librement choisies, de la compétence suivante :

Gestion et construction du parc des expositions.

 

La mise en œuvre du transfert

 

En application de l’article L. 5211-17 du CGCT, le transfert est décidé par délibérations concordantes du conseil communautaire et des conseils municipaux se prononçant dans les conditions de majorité requise pour la création de l’EPCI soit : les deux tiers au moins des conseils municipaux des communes intéressées représentant plus de la moitié de la population totale de celles-ci, ou par la moitié au moins des conseils municipaux des communes représentant les deux tiers de la population ; en outre cette majorité doit nécessairement comprendre le conseil municipal de la commune dont la population est supérieure à la moitié de la population totale concernée ou, à défaut, de la commune dont la population est la plus importante.

 

Le conseil municipal de chaque commune membre dispose d’un délai de trois mois, à compter de la notification au maire de la commune de la délibération du conseil communautaire, pour se prononcer sur le transfert proposé. A défaut de délibération dans ce délai, sa décision est réputée favorable. L’arrêté préfectoral qui suivra vaudra dessaisissement total des communes en la matière et rendra effectif le transfert qui interviendrait au 1er janvier 2012.

 

Le conseil communautaire devra délibérer de nouveau pour approuver le transfert de charges en se basant sur le rapport établi par la commission locale d’évaluation des charges transférées (CLECT). Ce rapport sera également soumis à l’approbation des conseils municipaux après notification aux communes membres, dans les conditions de majorité requise lors de la création de l’EPCI évoquées ci-dessus.

Concernant le contrat d’exploitation du parc des expositions conclu entre la Ville de Pau et l’association de la Foire Exposition, il suit la compétence, sans avenant, au même titre que les autres conventions, conformément à l’article L. 5211-17 du CGCT, la CDA PP se substituant à la Ville dans l’exécution des dits contrats.

 

Il sera demandé au conseil municipal :

-          d’approuver le transfert au 1er janvier 2012, de la compétence librement choisie suivante :
               Gestion et construction du parc des expositions,

-          d’approuver la modification des statuts de la Communauté d’Agglomération comme joints en annexe,

-          d’autoriser Monsieur le Maire à signer tous les documents relatifs à ce transfert.

 

(les annexes relatives à cette question ont été fournies lors de la précédente séance du conseil municipal)

 


3.     Proposition de décision modificative n° 3 du budget communal 2011

 

Les ajustements de crédits suivants constituent la proposition de décision modificative n°3 du budget communal 2011.

 

Objet des dépenses/recettes

Ch/Art./Fonction

Montant en Euros

INVESTISSEMENT

 

 

Dépenses

 

 

-    Achat terrain au Conseil Général

ONA art 2111 F 020

44.000

-    Travaux investissement voirie

Op 006 art 2313 F 822

17.250

Total ……………………………………

 

61.250

 

 

 

Recettes

 

 

-    Restitution capital consigné (projet expropriation Lucheux)

ONA art 2111 F 020

17.250

-    Cession terrain Communal au Conseil Général

CH 024

247.200

-    Cession terrain communal au Conseil Général

ONA art 2115 F 020

- 203.200

Total………………………………………

 

61.250

FONCTIONNEMENT

 

 

Recettes

 

 

Autres produits financiers (Intérets dépôt consignation « Lucheux »)

Art 768 F 01

103

Participations des communes (fonctionnement écoles)

Art 74748 F 212

- 103

 

 

4.     Autorisation donnée au Maire d’engager des dépenses d’investissement avant le vote du budget primitif 2012

 

 

La loi n°88-13 du 5 janvier 1988 dite loi d’amélioration et de décentralisation prévoit, notamment dans son article 15, des dispositions permettant au Maire, après autorisation du Conseil Municipal, d’engager et de mandater des dépenses d’investissement avant le vote du budget primitif, dans la limite du quart des crédits ouverts au budget de l’exercice précédent (hors crédits pour le remboursement de la dette).

 

L’article 1612-1 du code général des collectivités territoriales indique qu’il y a lieu de préciser le montant et l’affectation des crédits quand cette autorisation est donnée.

 

Il sera donc demandé à l’assemblée, jusqu’à l’adoption du budget, d’autoriser Monsieur le Maire à engager, liquider et mandater les dépenses d’investissement :

-       dans la limite d’un montant de 605.000 euros – quart des crédits ouverts pour les immobilisations corporelles et les travaux d’équipements au budget primitif communal 2011,

-       selon un état détaillé qui ne pourra être dressé qu’à la fin de l’exercice 2011.

 

 

5.     Subvention communale au Centre Communal d’Action Sociale au titre de l’exercice 2012 : attribution d’un acompte

 

Le Conseil Municipal a décidé d’allouer en 2011 une subvention communale au Centre Communal d’Action Sociale (CCAS) à hauteur de 300.000 euros. La subvention annuelle allouée au CCAS est toujours mandatée après le vote du budget primitif communal, c'est-à-dire au plus tôt courant avril.

 

Or, la trésorerie du CCAS ne lui permettra pas d’assurer ses charges de paiement du 1er trimestre 2012.

 

Monsieur le Maire proposera alors à l’assemblée municipale de verser par anticipation au CCAS, avant le vote du budget communal et des subventions annuelles 2012, un acompte de 100.000 euros sur la subvention communale globale qui sera allouée au CCAS lors du vote du prochain budget primitif communal 2012. L’acompte de 100.000 euros serait donc imputé en dépense du budget communal 2012 – article 657362.

 

 

6.     Location de salles communales : proposition modification de la tarification à compter du 1er Janvier 2012

 

 

Par délibération du 15 décembre 2008, le conseil municipal avait approuvé le principe d’une tarification pour l’utilisation des salles communales par des particuliers. Les salles de réunion de la Maison des Associations sont également amenées à être réservées par des personnes n’appartenant pas aux associations hébergées dans cette structure.

 

Par conséquent, il convient de compléter la grille tarifaire jointe en annexe avec le tarif de mise à disposition des trois salles de réunion de la Maison des Associations.

 

Il sera donc demandé au conseil municipal de valider la grille tarifaire proposée pour une application au 1er janvier 2012.

 

 

7.     Cession gratuite terrain consorts CORTEGGIANI à la Commune de Jurançon

 

Dans le cadre de la division  d’une partie de sa propriété en 1983 Monsieur Jean CORTEGGIANI s’est engagé  à céder gratuitement à la Commune de  Jurançon plusieurs parcelles  notamment pour l’élargissement de l’avenue des Frères Barthélémy (ex VC dite des Faites).

 

Une partie de la cession fut concrétisée lors de la construction des 4 lots.

Les parcelles dés lors  cadastrées BD 264 et 279 sont restées attachées à la propriété conservée par Monsieur Jean CORTEGGIANI puis ses héritières.

Celles-ci, Mesdames Sylvie et Elisabeth CORTEGGIANI souhaitant maintenant vendre  ces terrains, ont proposé la cession gratuite à la Commune pour honorer la promesse initiale.

 

Comme convenu dans la rédaction de ce document les frais d’acte, d’enregistrement et d’établissement de documents cadastraux sont à la charge de la commune.

 

En conséquence compte tenu de l’engagement initial et de l’intérêt pour la commune de disposer de ces deux parcelles d’une contenance respective  de 160 et 200 m² en bordure de l’avenue des Frères Barthélémy, après avis favorable de la commission d’urbanisme, il sera demandé au conseil municipal :

-       d’accepter, au profit de la commune, la cession gratuite des parcelles BD 264 et 279.

-       d’autoriser M le Maire à signer tous les documents relatifs à cette cession.

 

 

8.     Utilisation de la clause d’insertion sociale dans les marchés publics

 

 

Dans le cadre des objectifs de la politique de cohésion sociale, Jurançon entend faire en sorte, que dans le respect du code des marchés publics, la commande publique puisse favoriser l’accès ou le retour à l’emploi des personnes rencontrant des difficultés sociales et professionnelles particulières.

 

Pour promouvoir l’emploi et combattre l’exclusion, Jurançon fait en premier lieu, appel à ses partenaires privilégiés qui sont les entreprises du secteur privé qui répondent à ses appels publics à la concurrence.

 

D’une part, en application de l’article 14 du code des marchés publics, Jurançon fixera dans le cahier des charges de certains marchés publics choisis en fonction de leur objet, de leur durée, de leur montant ou de leur localisation, des conditions d’exécution permettant de promouvoir l’emploi de personnes rencontrant des difficultés particulières d’insertion.

 

ü  A hauteur de 5% minimum du nombre total d’heures travaillées, pour tous les marchés de travaux dont le montant global minimum (tous lots confondus) est supérieur à 750 000€ HT

Les lots d’un montant inférieur à 50 000€ HT et/ou dont la durée d’exécution est inférieure à 10 jours ouvrés ne seront pas concernés, car ils ne permettront pas d’offrir une étape de parcours intéressante aux personnes rencontrant des difficultés sociales et professionnelles particulières

 

ü  A hauteur de 5% minimum du nombre total d’heures travaillées du montant affecté à la main d’œuvre pour les marchés de services dont le montant minimum est supérieur à 90 000€ HT par an et dont l’objet, la durée, la localisation, ou les conditions d’exécution  sont compatibles avec l’accueil d’une personne rencontrant des difficultés sociales et professionnelles particulières (collecte des déchets, nettoyage, entretien d’espaces verts…)

 

 

L’utilisation de la clause d’insertion permettra de favoriser le rapprochement qui doit s’opérer entre les structures d’insertion par l’activité économique et les entreprises du secteur privé, dans l’intérêt des personnes engagées dans un parcours d’insertion.

 

Il permettra également de répondre au besoin de main d’œuvre des entreprises qui connaissent dans certains secteurs des difficultés de recrutement.

 

Dans le prolongement de cette démarche, et dans la mesure du possible, Jurançon prendra en compte la possibilité désormais offerte par l’article 53 du code des marchés publics, d’utiliser parmi les critères d’attribution d’un marché, les performances de l’entreprise en matière d’insertion professionnelle des publics en difficulté.

 

Mais considérant que l’article 14 du code des marchés publics permet d’associer principalement à la commande publique, les structures d’insertion par l’activité économique qui œuvrent dans le secteur marchand ;

 

Considérant que d’autres structures d’insertion par l’activité économique interviennent en amont du secteur marchand, pour prendre en charge des personnes en très grande difficulté qu’il s’agit de resocialiser par des activités d’utilité sociale ;

 

Considérant la nécessité de favoriser les parcours d’insertion pour permettre aux structures d’insertion par l’activité économique du secteur marchand d’accueillir des personnes susceptibles de s’adapter aux contraintes du secteur concurrentiel à l’issue d’une première étape de re-socialisation dans le secteur non marchand ;

 

Considérant le nouvel article L 322-4-16-8 du code du travail portant définition des ateliers et chantiers d’insertion ;

 

Jurançon proposera dans le cadre de l’article 30 du code des marchés publics, des marchés de services de qualification et d’insertion professionnelles réalisés sous la forme de prestations d’appui et d’accompagnement à l’emploi destinés aux personnes rencontrant des difficultés graves d’accès ou de maintien à l’emploi.

 

Ces prestations d’appui et d’accompagnement à l’emploi seront effectuées dans le cadre d’activités d’utilité sociale.

 

En application de l’article 15 du code des marchés publics, et afin de favoriser l’accès ou le maintien à l’emploi de personnes handicapées, Jurançon pourra réserver certains marchés ou certains lots d’un marché aux entreprises adaptées ou aux établissements et services d’aide par le travail.

 

La mise en application de ces mesures sera assurée par le GIP-DSU et le PLIE Pau Pyrénées dès la phase d’identification du besoin à satisfaire par le marché.

Une fois le marché attribué, les entreprises retenues bénéficieront d’un accompagnement par le PLIE Pau Pyrénées pour l’exécution de leur clause d’insertion : identification de personnes rencontrant des difficultés sociales et professionnelles particulières intéressées par la mission, mise en relation avec les structures d’insertion par l’activité économique, accompagnement social et professionnel de la personne bénéficiant de la clause, évaluation de l’exécution de la clause d’insertion.

 

Dans le souci de renforcer la cohésion sociale sur notre territoire et dans le cadre d’une politique de développement durable, il sera donc demandé au conseil municipal de se prononcer favorablement sur le principe de mise en œuvre de l’ensemble des dispositifs évoqués ci-dessus. 

 

 

9.     Contrat Enfance Jeunesse n°2 : CAF Béarn et Soule/Commune de Jurançon

 

Le contrat « Enfance et Jeunesse » est un contrat d’objectifs et de co-financement visant à développer l’accueil des enfants et des jeunes jusqu’à 17 ans révolus. Le précédent contrat étant arrivé à échéance le 31 décembre 2010, il y a lieu de procéder à son renouvellement à compter du 1er janvier 2011 jusqu’au 31 décembre 2014.

 

La convention proposée par la Caisse d’Allocations Familiales Béarn et Soule définit et encadre les modalités d’intervention et de versement de la prestation de service enfance et jeunesse. Elle a notamment pour objet de décrire le programme des actions nouvelles prévues dans le schéma de développement et de fixer les engagements réciproques des parties.

 

Il sera proposé  au Conseil Municipal d’approuver cette convention d’objectifs et de financement  Contrat Enfance Jeunesse telle que présentée.

 

 

10.  Contrat Enfance Jeunesse – Réseau Assistantes Maternelles des Berges du Gave : autorisation de signature

 

Il sera demandé au Conseil Municipal d’autoriser Monsieur le Maire à signer d’ici le 31 décembre 2011, le Contrat Enfance jeunesse RAM Berges du Gave actuellement en cours d’élaboration.

 

 

11.  Convention d’Objectifs et de financement relative au RAM « Berges du Gave » : modification

 

Il sera proposé à l’assemblée municipale de modifier l’article 3 de la convention d’objectifs et de financement relative au Relais Assistants Maternels « Berges du Gave » tel que proposé ci-dessous :

 

Article 3 – Dispositions à caractère financier

 

Conformément aux dispositions de l’article 1 de la présente convention, la gestion budgétaire et financière de la structure est assurée par Mutualité 64 qui l’introduit dans la consolidation de ses comptes généraux.

 

A ce titre, Mutualité 64 présente pour chaque exercice comptable :

-       un budget prévisionnel N+1 faisant ressortir les différents financements, soumis à la validation des collectivités co-signataires.
Ce budget prévisionnel est présenté aux instances municipales avant le 30 novembre N de chaque exercice comptable. Pour permettre un fonctionnement équilibré, il devra faire l’objet d’une validation avant le 15 décembre suivant,

-       un compte de résultat N établissant la répartition des différents financements, soumis à l’approbation des communes.
Ce compte de résultat est présenté aux instances municipales avant le 30 juin N+1 de chaque exercice comptable.

 

Les résultats d’exercice (excédent ou déficit) issus, soit d’une variation d’activité indépendante des processus de gestion de Mutualité 64, soit de la stricte application de mesures de gestion approuvées du Budget Prévisionnel ou de dispositions conventionnelles ou contractuelles concernant le personnel salarié sont acquis aux seules collectivités co-signatiaires.

 

Pour permettre un fonctionnement équilibré de la structure, l’attribution des subventions se fera sur la base de 2 versements semestriels (payable d’avance) selon les modalités suivantes : (appelés auprès de chaque collectivité) :

- Acompte du 1er semestre : appel au 15 janvier,

- Acompte du 2ème semestre : appel au  15 juillet.

 

 

12.  Révision du taux de cotisation contrat groupe d’assurance protection sociale des fonctionnaires affiliés à la CNRACL

 

Monsieur le Maire rappelle que la loi n°2010-1330 du 9 novembre 2010 portant réforme des retraites impose le report de l’âge légal d’admission à la retraite pour tous les agents nés à compter du 1er juillet 1951.

 

Ce report de l’âge légal de départ à la retraite entraîne une augmentation des charges supportées par les assureurs en matière d’indisponibilité physique des agents territoriaux.

 

Comme le prévoit l’article 26 de la loi n°2010-1330 du 9 novembre 2010 précitée, les organismes d’assurance et de prévoyance peuvent constituer des provisions afin de faire face à leurs obligations contractuelles alourdies.

 

Ce provisionnement pouvait prendre effet à compter du 1er janvier 2011 et devait se constituer par provisionnement constant sur la durée du contrat d’assurance restant à courir.

 

Après négociation avec la CNP, assureur du contrat de la collectivité, DEXIA-SOFCAP, courtier du contrat, nous a fait part des résultats suivants :

-          effet pécunier de la révision à compter du 1er janvier 2012,

-          révision du taux de cotisation à raison de 5 % pour le contrat garantissant les fonctionnaires relevant de la CNRACL de 6,03 % à 6,33 %.

 

Monsieur le Maire appelle l’attention sur le fait que la proposition de révision est atténuée par l’effet de la mutualisation entre l’ensemble des collectivités adhérentes et tient compte de l’évolution de l’absentéisme de la collectivité depuis le début du contrat.

 

Il sera donc demandé au conseil municipal :

-          d’approuver la position de révision des taux de cotisation faite par la  CNP dans le cadre de la loi n° 2010-1330 du 9 novembre 2010 portant réforme des retraites,

-          d’autoriser Monsieur le Maire à signer l’avenant au contrat d’assurance proposé.

 

Les crédits suffisants seront prévus au budget de l’exercice 2012.

 

13.  Autorisation de travail à temps partiel d’un assistant de conservation du patrimoine et des bibliothèques de 1ère classe

 

Un assistant de conservation du patrimoine et des bibliothèques de 1ère classe, affecté au service archives de la Mairie et à la médiathèque intercommunale de la CDA par une mise à disposition, demande à bénéficier d’une prolongation d’autorisation de travail à temps partiel à hauteur de 80% d’un temps complet à compter du 1er janvier 2012. Cet agent étant mis à disposition de la CDA par la Commune de Jurançon, le nombre d’heures affecté à chaque collectivité sera fixé à 50% de son temps de travail.

 

Il sera demandé à l’assemblée délibérante de répondre favorablement à cette demande.

 

 

14.  Augmentation des temps de travail d’agents à temps non complet

 

Depuis avril 2011, plusieurs réunions sur la catégorie  C ont été organisées. Lors de ces réunions, il a été noté que 6 agents à temps non complet réalisent des heures complémentaires régulières.

Ces heures complémentaires correspondant à des besoins permanents, il sera proposé de prendre en compte ces heures dans les coefficients de rémunération, étant entendu que les agents ont accepté l’augmentation de leur temps de travail et que le C.T.P a été consulté le 5 décembre 2011 dernier.

 

Il sera demandé à l’assemblée délibérante de répondre favorablement à cette demande à compter du 1er janvier 2012 de la manière suivante :

 

-          De 14,5/35ème à 26,5/35ème pour un adjoint d’animation de 2ème classe

-          De 18,5/35ème à un temps complet pour un adjoint d’animation de 2ème classe

-          De 22/35ème à 29/35ème pour un adjoint d’animation de 1ère classe

-          De 26/35ème à 27,5,5/35ème pour un adjoint technique de 2ème classe

-          De 23/35èmeà 31/35ème pour un adjoint technique de 2ème classe

-          De 16,5/35ème à 19/35ème pour un adjoint technique de 2ème classe.

 

 

15.  Mise à disposition d’un Adjoint Technique de 2ème classe au C.C.A.S.

 

Pour  assurer la continuité du service de livraison des repas mis en place au C.C.A.S , il sera proposé de mettre à disposition du C.C.A.S un adjoint technique de 2ème classe employé par la Commune de Jurançon, pour assurer le remplacement de l’agent titulaire du poste durant les congés annuels et les congés de tous types non prévisibles (maladie, autorisations d’absence…).

 

 

16.  Mise à disposition de locaux communaux à des associations jurançonnaises au sein de la Maison des Associations : renouvellement des conventions

 

 

Il sera proposé à l’assemblée un projet de convention (modèle joint en annexe) dont l’objet est le renouvellement de la mise à disposition d’un local équipé au sein de la Maison des Associations au profit des associations bénéficiaires suivantes :

 

Domaine

Association

Représentée par

SPORT

Aïkido

Monsieur Jean-Claude BOITIVEAU

 

ASCJ

Monsieur Christian BRANDAM

 

Association Sportive Pelote Jurançonnaise

Monsieur René MERCADER

 

Les marcheurs Dou Bi de Rey

Monsieur Henri LAMARQUE

 

LSCJ

Monsieur Christian THEO

 

Tennis de Table

Monsieur DUDOUET

 

Vitalité et Sport

Madame Sophie GRANSARD

 

Volley-Ball de Rousse Jurançon

Monsieur Alexandre DELARQUIER

CULTURE

Andalucia

Madame Mauricette HERNANDEZ

& AUTRES

Guadalquivir

Monsieur BANEGAS

 

La Charmantina Juransonesa

Madame Maryse HARRE

 

Danse Passion – Zumba – Salsa – Fitness

Monsieur POVERT-FOURET

 

Béarn Outre Mer

Monsieur Manuel SEMINOR

 

Chorale au Fil des Ans

Monsieur Christophe BARRUE

 

Les ateliers Théâtre de l’Echiquier

Madame BURGE

 

L’œil du Cachalot

Monsieur PARIZOT

 

Espace Public Numérique

Monsieur Yves TURON

 

Comité des Fêtes

Mademoiselle Elodie LABORDE

 

Jurançon Rencontre Animation

Monsieur Christophe PAYBOU

 

Comité d’Animation Culturelle

Monsieur  Bernard TESTU

 

Union du Commerce Jurançonnais

Monsieur Jean BERCAIRE

 

Anciens Combattants ACPG-CATM-TOE

Monsieur Jean-Paul GALANT

 

Anciens Combattants FNACA

Monsieur COUARTOU

 

L’assemblée municipale sera appelée à se prononcer sur le principe de la mise à disposition à titre gratuit ainsi que sur les conditions encadrant l’utilisation des locaux par chacune des associations ci-dessus désignées (projet de convention joint), ainsi que sur l’autorisation à donner à Monsieur le Maire à signer les conventions correspondantes.

 

La convention proposée pour chaque association désignée pourrait prendre effet au 1er Janvier 2012, pour une durée de trois ans.

 

 

17.  Syndicat d’Energie des Pyrénées-Atlantiques : présentation du rapport d’activité 2010

 

Le rapport 2010 (ci-joint) est transmis aux élus pour information. Il permet d’appréhender les différents aspects de l’activité de l’établissement en tant qu’autorité concédante des services publics de distribution d’électricité et du gaz, ainsi qu’au titre de la maîtrise de l’Energie, des Energies Renouvelables et de la maîtrise d’ouvrage des travaux d’électrification.

 

Le Conseil Municipal prendra acte du rapport d’activité de l’exercice 2010 présenté par le Syndicat d’Energie des Pyrénées-Atlantiques.

 

 

 

 

 

         IN FORMATIONS

 

Information générale sur le personnel communal

 

Depuis le 1er octobre 2010, les agents communaux  bénéficient d’une protection maintien de salaire grâce à la mise en place d’un contrat groupe avec le versement d’une participation financière de la Commune.

 

Dans le cadre de la poursuite de sa politique sociale, le Maire souhaite informer l’assemblée de sa décision d’augmenter, à compter du 1er janvier 2012, le régime indemnitaire des agents communaux relevant de la catégorie C.

 

Cette décision qui fait suite à une suite de réunions menées en concertation avec les représentants syndicaux, s’inscrit dans la volonté affirmée de valoriser le pouvoir d’achat des agents de catégorie C.

 

L’augmentation du régime indemnitaire s’effectuera évidement dans le cadre du pouvoir d’attribution individuelle du Maire et dans le strict respect des délibérations instituant le régime indemnitaire dans la commune de Jurançon.

 

Les crédits correspondants seront inscrits au BP 2012.

 

Une réflexion sera menée courant 2012 pour la revalorisation du régime indemnitaire des catégories B et A.

 

Par ailleurs, la commune s’engagera dès 2012 dans une démarche de modernisation des outils de GRH, notamment avec la mise en place d’entretiens professionnels pouvant légalement remplacer à titre expérimental la notation et la formalisation, au cours des deux prochaines  années, d’un plan de formation.

Le Maire,

Michel BERNOS

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5 décembre 2011 1 05 /12 /décembre /2011 22:02

 

Lundi 12 Décembre 2011 - à 19 h 30

Salle du Conseil Municipal

 

 

ORDRE DU JOUR

 

Schéma directeur et charte des aménagements cyclables de l’agglomération

Transfert du Parc des Expositions de Pau à la Communauté d’Agglomération Pau Pyrénées

Proposition de décision modificative n° 3 du budget communal 2011

Autorisation donnée au Maire d’engager des dépenses d’investissement avant le vote du budget primitif 2012

Subvention communale au Centre Communal d’Action Sociale au titre de l’exercice 2012 : attribution d’un acompte

Location de salles communales : proposition modification de la tarification à compter du 1er Janvier 2012

Cession gratuite terrain consorts CORTEGGIANI à la Commune de Jurançon

Utilisation de la clause d’insertion sociale dans les marchés publics

Contrat Enfance Jeunesse n°2 : CAF Béarn et Soule/Commune de Jurançon

Contrat Enfance Jeunesse – Réseau Assistantes Maternelles des Berges du Gave : autorisation de signature

Convention d’objectifs et de financement relative au RAM « Berges du Gave » : modification

Révision du taux de cotisation contrat groupe d’assurance protection sociale des fonctionnaires affiliés à la CNRACL

Autorisation de travail à temps partiel d’un assistant de conservation du patrimoine et des bibliothèques de 1ère classe

Augmentation des temps de travail d’agents à temps non complet

Mise à disposition d’un Adjoint Technique de 2ème classe au C.C.A.S.

Mise à disposition de locaux communaux à des associations jurançonnaises au sein de la Maison des Associations : renouvellement des conventions

Syndicat d’Energie des Pyrénées-Atlantiques : présentation du rapport d’activité 2010


 

Information générale sur le personnel communal
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18 octobre 2011 2 18 /10 /octobre /2011 22:09

Toujours mieux pour Jurançon

 

Nous avons souhaité consacrer cette tribune de rentrée à Germaine Mollier, présidente du club de l’âge d’or, et à Georges Brondy, ancien directeur de Nouste Soureilh, décédés cet été.

 Germaine Molier         Georges Brondy

      

Germaine pour qui le bénévolat était un devoir a très vite œuvré comme parent d’élèves. Elle considérait nécessaire le rôle des parents  dans les activités physiques et culturelles, indispensables à l'épanouissement de la jeunesse. Cet altruisme, cette volonté de communication l'amèneront à prendre des responsabilités au foyer de l'ASCJurançon  dont  elle devient  la cheville ouvrière.

Sa générosité s'accompagnait d'une sincérité soulignée par son regard bleu qui pouvait être d'une infinie douceur mais aussi bien marquer la rigueur. Consciente de ses devoirs, elle savait défendre à la fois ses idées et son idéal. Ennemie de la compromission, elle restera pour nous un exemple où le militantisme consiste avant tout à donner, sans attendre de remerciements. Ce dévouement permanent la guide tout naturellement à la présidence du club du troisième âge.

Entre 2001 et 2007, sous la houlette de Georges Brondy,  elle participe au comité de pilotage de la maison de retraite qui va ouvrir à Jurançon. Georges a mis toute son expérience professionnelle et son savoir-faire dans ce projet ; il en fut un acteur essentiel, prodiguant nombre de conseils avisés en termes d’ergonomie, d’environnement et d’animation.

C’est en associant les immenses qualités de ces deux personnalités que la municipalité a pu déposer un avant-projet adapté aux contraintes de nos aînés face à  la perte d’autonomie. Nous les remercions.

 

Janine Dufau, Mady Commenges, François Banizette, Pascale Soubies, Michèle Casta-Blanc.

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8 septembre 2011 4 08 /09 /septembre /2011 22:52

 

1.     Transferts de compétences en matière culturelle à la Communauté d’Agglomération Pau Pyrénées

 

 

Monsieur le Maire a reçu par notification du 29 juillet 2011 la délibération du conseil communautaire n°33 du 30 juin 2011 qui propose les transferts de compétences suivants :

 

1 – Politique en faveur du livre et de l’écrit

 

Depuis février 2002, la Communauté d’Agglomération Pau Pyrénées a progressivement transféré la gestion de médiathèques dans le cadre de la compétence optionnelle « Construction, aménagement, entretien et gestion d’équipements culturels et sportifs d’intérêt communautaire ».

 

Il est proposé de passer d’une logique de simple gestion d’équipements au développement d’une politique de soutien au livre et à l’écrit qui pourrait s’inscrire dans le cadre de la compétence librement choisie suivante :

« mise en réseau des activités culturelles » :

-          organisation et/ou soutien aux activités et manifestations en faveur du livre et de l’écrit.

 

En parallèle, il est proposé de poursuivre le développement du réseau intercommunal de Lecture Publique au moyen de la signature de conventions et/ou de l’engagement de discussions avec les médiathèques n’ayant pas à ce jour rejoint le réseau (Gan, Mazères, Idron…).

 

2 -  Politique linguistique

 

Un état des lieux des actions menées sur l’agglomération paloise en faveur de la langue et des cultures occitane/gasconne/béarnaise vient d’être élaboré. Il en ressort principalement une volonté commune :

-          de s’inscrire dans une politique publique partenariale avec le Département et la Région en intégrant le schéma linguistique Iniciativa,

-          d’animer et soutenir financièrement les activités et manifestations en occitan,

-          de réaliser des projets structurants et fédérateurs en occitan auxquels les communes de l’agglomération pourraient librement adhérer (toponymie, signalétique, formation à la langue…),

-          de valoriser et promouvoir la langue occitane,

-          de mener une réflexion sur les conditions d’accueil des associations structurantes oeuvrant à la diffusion et à la promotion des cultures et de la langue occitane.

 

Dans cette optique, il est proposé de prendre la compétence librement choisie suivante :

« organisation et/ou soutien aux activités et manifestations en faveur de la socialisation et du développement de la langue occitane et des cultures régionales. »

 

Cette compétence permettra :

 

-          le soutien aux associations structurant la langue : Ostau  Bearnés, Institut Occitan,

-          le soutien aux deux principaux évènements culturels occitans : Hestiv’Oc et le Carnaval Biarnés,

-          le soutien à l’association structurant la culture basque : Lagunt Eta Maïta,

-          l’organisation d’actions de valorisation de la langue mises en place par la CDA PP en concertation avec les communes : signalétique, toponymie, cours de langues aux adultes…,

-          le soutien aux actions initiées par tous types d’associations culturelles, sportives ou sociales qui présenteront un volet linguistique dans leur projet (ex : plaquette bilingue pour un club sportif),

-          l’organisation d’actions concertées et partagées avec les autres partenaires publics (communautés de communes, Conseil Général, Conseil Régional, Education Nationale, …) notamment en intégrant Iniciativa et l’Amassada.

 

3 – Mise en réseau des enseignements artistiques

 

Par délibération n°3 du 13 février 2002, la CDA PP s’est dotée d’une compétence librement choisie : « Mise en réseau des activités culturelles : gestion des écoles de musique et leur mise en réseau ».

 

Par délibération n°9 du 29 novembre 2002, la gestion de l’Ecole Nationale de Musique et de Danse de PAU, devenue Conservatoire à Rayonnement Départemental de Musique et de Danse (CRD), a été déclarée d’intérêt communautaire dans le cadre de la compétence optionnelle « construction, aménagement, entretien et gestion d’équipements culturels et sportifs d’intérêt communautaire ». Cet établissement a été transféré à la Communauté d’Agglomération Pau Pyrénées le 1er janvier 2003 alors que les autres écoles de musique sont restées sous la responsabilité des communes gestionnaires.

 

Or, la CDA PP n’a pas nécessairement vocation à se substituer aux communes dans la gestion des dites écoles de musique. Tout transfert à la CDA PP demanderait d’ailleurs au préalable une expertise approfondie des établissements concernés.

 

C’est pourquoi, il est proposé d’adapter la compétence librement choisie en substituant à « gestion des écoles de musique et leur mise en réseau », l’intitulé suivant :

« mise en réseau des activités culturelles » : mise en réseau des structures d’enseignement artistique de musique, de danse et de théâtre.

 

 

4 – Mise en œuvre des transferts

 

Le conseil municipal doit dans un premier temps se prononcer sur les transferts de compétences. Il dispose d’un délai de trois mois à compter de la notification au maire de la commune de la délibération du conseil communautaire. A défaut de délibération dans ce délai, sa décision sera réputée favorable.

 

En application de l’article L 5211-17 du Code Général des collectivités territoriales, les transferts de compétences sont décidés par délibérations concordantes du conseil communautaire et des conseils municipaux se prononçant dans les conditions de majorité requise pour la création de l’établissement public de coopération intercommunale, soit les deux tiers au moins des conseils municipaux des communes intéressées représentant plus de la moitié de la population totale de celles—ci, ou par la moitié au moins des conseils municipaux des communes représentant les deux tiers de la population ; en outre, cette majorité doit nécessairement comprendre le conseil municipal de la commune dont la population est supérieure à la moitié de la population totale concernée ou, à défaut, de la commune dont la population est la plus importante. A l’issue de la procédure d’adoption, le transfert de compétences est prononcé par arrêté préfectoral. Le transfert effectif interviendrait au 1er janvier 2012.

 

Cette procédure s’applique à l’ensemble des transferts ci-dessus, y compris l’adaptation de la compétence relative à la mise en réseau des enseignements artistiques dès lors qu’il s’agit d’opérer une modification statutaire.

 

Les transferts de compétences entraînent de plein droit la mise à la disposition de la collectivité bénéficiaire des biens, équipements et services publics nécessaires à leur exercice conformément à l’article L 1321-1 et suivants du code général des collectivités territoriales. De même que l’établissement public de coopération intercommunale (EPCI) est substitué de plein droit, à la date des transferts de compétences, aux communes qui le composent dans toutes leurs délibérations tous leurs actes. Par ailleurs, les contrats continuent à être exécutés dans les conditions antérieures jusqu’à leur échéance, sauf accord contraire des parties. La substitution de personne morale aux contrats conclus par les communes n’entraîne aucun droit à résiliation ou à indemnisation pour le cocontractant. Simplement, la commune qui transfère la compétence informe les cocontractants de cette substitution.

 

Parallèlement, le conseil communautaire puis les conseils municipaux devront également se prononcer sur les transferts de charges selon les conditions de majorité requises lors de la création de l’EPCI évoquées ci-dessus. Le rapport établi par la commission locale d’évaluation des charges transférées (CLECT) sera soumis aux conseil municipaux des communes membres après notification par le conseil communautaire.

 

Pour ces motifs, il appartient au conseil municipal :

 

1)     d’approuver les transferts au 1er janvier 2012, dans le conditions précisées ci-dessus, des compétences librement choisies suivantes :

- «mise en réseau des activités culturelles :
       
* organisation et/ou soutien aux activités et manifestations en faveur du livre et de l’écrit,


- organisation et/ou soutien aux activités et manifestations en faveur de la socialisation et du développement de la langue occitane et des cultures régionales.

2)     d’approuver la modification au 1er janvier 2012 de la compétence « gestion des écoles de  musique et leur mise en réseau » incluse dans la compétence « mise en réseau des activités culturelles » désormais intitulée « mise en réseau des structures d’enseignement artistique de musique, de danse et de théâtre », dans les  conditions précisées ci-dessus,

3)     d’approuver la modification des statuts de la Communauté d’Agglomération Pau Pyrénées (joints en annexe),

4)     d’autoriser Monsieur le Maire à signer tous les documents relatifs à ces transferts.

 

 

 

2.     Taxe sur la consommation finale d’électricité : fixation du coefficient multiplicateur unique

 

 

La commune prélevait, jusqu’à l’année 2010, une taxe sur les fournitures d’électricité, au taux de 8 %, assise sur :

-          80 % du montant total hors taxes des factures (consommation, abonnement et location des compteurs), lorsque la puissance souscrite était inférieure ou égale à 36 kVA (consommations non professionnelles, essentiellement),

-           30 % de ce même montant, lorsque la puissance souscrite est supérieure à 36 kVA et inférieure ou égale à 250 kVA (consommations professionnelles essentiellement).

 

L’article 23 de la loi n° 2010-1488 du 7 décembre 2010 portant nouvelle organisation du marché de l’électricité (NOMÉ) a institué un nouveau régime de taxation de la consommation d’électricité, créant notamment, à compter du 1er janvier 2011, une taxe locale sur la consommation finale d’électricité, qui se substitue à l’ancienne taxe sur les fournitures d’électricité. (Ces dispositions ont été codifiées aux articles L.2333-2 à 5 et L.3333-2 à 3-3 du CGCT).

 

L’assiette de cette nouvelle taxe repose uniquement sur les quantités d’électricité consommées par les usagers, avec un tarif exprimé en euro par mégawattheure (€/MWh).

 

Les tarifs de référence fixés par la loi sont :

-          0,75 €/MWh pour les consommations non professionnelles et les consommations professionnelles sous une puissance souscrite inférieure ou égale à 36 kVA,

-          0,25 €/MWh pour les consommations professionnelles sous une puissance souscrite supérieure à 36 kVA et inférieure ou égale à 250 kVA.

 

Le coefficient multiplicateur à appliquer à ces tarifs de référence par la commune est compris entre 0 et 8, ce qui aboutit à une taxe communale pouvant être établie :

- entre 0 et 6 €/MWh pour les consommations non professionnelles et les consommations professionnelles sous une puissance souscrite inférieure ou égale à 36 kVA,

- entre 0 et 2 €/MWh pour les consommations professionnelles sous une puissance souscrite supérieure à 36 kVA et inférieure ou égale à 250 kVA.

 

Pour assurer la transition entre les deux dispositifs, aucune délibération n’a été nécessaire : le taux, en valeur décimale, constaté au 31 décembre 2010 a été automatiquement reporté et converti en coefficient multiplicateur applicable aux tarifs de référence (0,75 et 0,25 €/MWh).

Ainsi, comme la commune appliquait en 2010 un taux de taxe sur la fourniture d’électricité de 8 %, un coefficient de 8 a été appliqué en 2011 aux tarifs de référence, soit un barème de taxe de respectivement 6 et de 2 €/MWh, selon la nature des utilisateurs.

 

A partir de l’année 2012, la limite supérieure du coefficient multiplicateur (coef. 8) est actualisé « en proportion de l’indice moyen des prix à la consommation hors tabac établi pour l’année précédente 2010 par rapport au même indice établi pour l’année 2009 ».

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8 septembre 2011 4 08 /09 /septembre /2011 22:41

 

                    L’an deux mille onze et le vingt cinq Août à dix neuf heures trente, le Conseil Municipal de cette Commune, régulièrement convoqué par convocation adressée le 11 Août 2011, et affichée le même jour, s’est réuni au nombre prescrit par la loi, dans le lieu habituel de ses séances sous la présidence de Monsieur Michel BERNOS, Maire.

 

Présents :         Mesdames MEDAN, ROTH, CASENAVE, CASSOU, BERCAIRE, CARRAZ-SANSOUS, HAKIMI RIFKI, PEYRAN, COMMENGES, CASTA-BLANC, DUFAU POUQUET,

                        Messieurs BERNOS, LASSALLE, LOUSTAU, MALO, FOURNIER, AUBRUN, CAYERE, CONNIL, LAHILLONNE

Absents avec Pouvoirs :

Mme MANUEL pouvoir à Mme ROTH

Mme SABROU pourvoir à Mr LOUSTAU

Mr DURROTY  pouvoir à Mr BERNOS

Mme HERNANDEZ pouvoir à Mme MEDAN

Mme DUPARCQ  pouvoir à Mr MALO

Mme SOUBIES pouvoir à Mme COMMENGES

Mme GEROMET pouvoir à Mr LAHILLONNE

Absent excusé :

                        Mr BANIZETTE

Secrétaire :       Melle PEYRAN

 

Schéma Départemental de Coopération Intercommunale (SDCI) : avis à donner

 

Rapporteur : Monsieur le Maire

 

Déclaration Monsieur le Maire 

 

En application de la loi du 16 décembre 2010 portant réforme des collectivités territoriales, le Préfet est chargé d’élaborer après concertation un Schéma Départemental de Coopération Intercommunale visant un triple objectif :

-       achever la carte intercommunale par le rattachement des dernières communes isolées,

-       rationaliser le périmètre des EPCI à fiscalité propre existants,

-       simplifier le réseau des syndicats.

 

Le Préfet a réuni la Commission Départementale de Coopération Intercommunale les 27 avril et 5 mai derniers et a présenté des projets de schéma.

Le schéma a été notifié le 26 mai 2011 par courrier reçu le 30 mai 2011 à la communauté d’agglomération et dans la quasi-totalité des communes, lesquelles disposent de 3 mois pour se prononcer, faute de quoi la décision sera réputée favorable.

 

Vous êtes donc appelés à vous prononcer.

  1. La proposition sur le périmètre ;

Le Préfet préconise d’élargir la communauté d’agglomération aux territoires présentant les liens les plus forts avec l’agglomération sur la base de l’unité urbaine de Pau. Les propositions du Schéma visent donc à se rapprocher au maximum de ce périmètre en pérennisant les liens de solidarité existants entre les communautés de communes du Miey de Béarn, du Luy du Béarn et de Gave et Coteaux. Il a repris le découpage des intercommunalités pour faire simple.

  1. Des propositions concernant l’assainissement et l’alimentation en eau potable.

En terme de gestion du cycle urbain de l’eau sur le territoire de la future agglomération paloise le schéma retient du point de vue institutionnel :

-       pour l’eau potable : le regroupement des collectivités qui se fait en 2 sous ensembles : partie amont – fusion du SIEP Lescar et du SIEP Jurançon et Pau, partie avale, fusion du Syndicat Eau et assainissement des trois cantons : Syndicat Gave et Baïse, Syndicat de Gréchèse, Syndicat mixte d’eau potable de la région d’Orthez.

-       pour l’assainissement : transfert de la compétence aux EPCI à fiscalité propre pour qu’à l’échéance du schéma elle soit exercée par l’agglomération.

 

Pour l’exercice de la compétence en Eau Potable, le schéma ouvre également la voie au transfert de la compétence à l’agglomération sous réserve d’une analyse technique quant à sa faisabilité.

 

3.     propositions concernant les déchets :

 Le projet de schéma prévoit l’exercice de cette compétence par les EPCI à fiscalité propre éventuellement par le biais de syndicats mixtes. Actuellement, la collecte est déjà assurée par la communauté d’agglomération Pau Pyrénées, ainsi que par les EPCI qui rejoindront la communauté d’agglomération Pau Pyrénées soit directement, soit via le SIECTOM. Il convient de noter toutefois deux éléments :

-       le modèle de financement de la collecte n’est  pas défini sur le futur territoire intercommunal,

-       et une harmonisation des pratiques devra impérativement être mise en place.

S’agissant du traitement des déchets la compétence sera répartie entre 3 syndicats mixtes présents sur le département, elle est déjà exercée pour toutes les communes de la future agglomération par le Syndicat Mixte de Traitements des Déchets qui est conforté par la réforme.

 

4.     Les propositions concernant l’aménagement des rivières, le projet prévoit que chaque EPCI se dote de la compétence rivière et la transfère à un syndicat mixte à l’échelle du Gave de Pau et de ses affluents, ce qui permettrait une vision plus intégrée des bassins versants.

 

5.     Les propositions en matière d’aménagement de l’espace, le schéma pose le principe suivant à savoir la substitution de plein droit des EPCI à fiscalité propre aux syndicats infra communautaires et le maintien de structures portant sur des domaines très spécifiques.

 

Ces éléments d’informations vous en avez eu communication par l’envoi d’une note de synthèse et des propositions présentées par le Préfet, et bien sûr à l’occasion de la réunion que nous avons organisée en commission plénière au sein de ce conseil en juillet 2011.

 

Le Préfet nous propose donc d’émettre un avis.

 

Ce texte proposé appelle un certain nombre de commentaires.

 

Une réforme territoriale est nécessaire et souhaitable pour notre pays ; personne de  sérieux ne saurait le contester ;  elle ne doit pas se conduire de manière aveugle, technocratique, sans prendre en compte la spécificité de chaque territoire, son histoire. Elle doit respecter le principe de libre administration des collectivités territoriales;

Personne n’est opposé à une réforme territoriale. Sur bien des aspects, le statut quo n’est pas souhaitable. La maîtrise des finances publiques conduira à une restructuration de son territoire, mais également à repenser le mode de fonctionnement des politiques publiques à l’échelon territorial et à les simplifier.  Nous ne pouvons qu’y souscrire ; Le mille feuilles administratif est source de gabegies et souvent d’inefficacité.

 

Toutefois, ce projet de réforme a été rejeté par l’assemblée des maires de France et la proposition d’application au niveau local suscite des réserves.

Sur le choix du périmètre, s’il semble répondre à une partie de la problématique territoriale, en rapprochant effectivement du bassin de vie naturelle, il occulte un pôle industriel majeur. Il laisse une intercommunalité décider pour un pôle économique majeur dont la dimension la dépasse singulièrement ; c’est une erreur

Si on est dans la volonté de créer un périmètre qui prenne en compte la future dimension de pole métropolitain,  il apparaît pour le moins surprenant que cette dimension économique (basin de Bordes) n’ait pas été pris en compte.

A vouloir trop coller, sur l’existant des intercommunalités, on ne crée pas les conditions nécessaires pour faire de Pau un acteur majeur à terme.

L’argument tiré de  l’évolution de la fiscalité sur les personnes n’est pas recevable. Assurer de la cohérence au projet, c’est certes améliorer les services à la personne, les politique de mixité sociale, de logement. Par exemple dans le cadre de l’amélioration du service à la personne nous ne pouvons pas occulter le développement économique et l’emploi. Le périmètre doit prendre en compte le bassin d’emploi.

 

Le deuxième point, c’est le volet des ressources financières. Cette réforme est absolument sans aucune information sur l’évolution financière des futures intercommunalités et par voie de conséquence sur nos communes.

Après la suppression de la Taxe Professionnelle et son remplacement aléatoire par des dotations d’Etat gelées, et des taxes non pérennes, l’étranglement financier va se poursuivre. La mise en œuvre de la réforme proposée va aggraver cette situation, le tout dans un contexte économique particulièrement difficile, à budget constant et ne nous faisons pas d’illusions, le spectre de la récession plane également sur les transferts de l’Etat.

Nous notons un certain nombre de réserves, notamment sur la méthode qui laisse apparaître une impression de passage en force de l’Etat, ainsi que sur le  défaut de débat et l’absence de mécanisme incitatif.

 

Le calendrier également nous interpelle. Les améliorations et les délais supplémentaires accordés l’ont été certainement au cours de cette période estivale pour apaiser les rancœurs et les inquiétudes, compte  tenu du délai particulièrement court qui avait été mis en œuvre et qui donnait une impression extrêmement désagréable. Il convient de laisser du temps au temps afin de mesurer le chemin parcouru, les écueils rencontrés.

 

Ce doit être également l’occasion de mettre à plat  la réalité du fonctionnement de notre communauté d’agglomération. Le vote récent qui a eu lieu ce lundi, a démontré toute la difficulté de l’organisation de cette dernière ainsi que ses dérives.

Un développement de sa bureaucratie, une augmentation de ses charges de fonctionnement alors même que nous pouvons nous interroger quant à la qualité du service public rendu et sur la qualité d’une vraie réponse favorable et légitime à l’attente de nos concitoyens. Une absence de politique d’intégration depuis 2008 ; pour mémoire le coefficient d’intégration est de 0,29 (en moyenne en France 0,50).

L’argument nous enjoignant  d’aller de l’avant n’est pas recevable. Si cela signifie faire du CIF pour du CIF afin de récupérer des dotations, c’est illusoire.

Nous allons dès cette année perdre des ressources en matière de dotations, et l’explosion de notre budget de fonctionnement (notamment en frais de personnel), une mutualisation qui ne sert que les intérêts de la ville centre et que nous dénonçons, une bureaucratie, une inertie, l’absence de projet en commun, le peu d’efficacité et d’efficience de l’exécutif, la valse des cadres, à ce jour de nombreux cadres de direction ont abandonné le navire,  nous paralyse.

 

Nous ne devons pas compter sur une manne illusoire pour nous remettre à flot ; nous partons de trop loin. Voir la délibération du LUY du Béarn, assez révélatrice à cet égard.

Très clairement notre communauté d’agglomération à 14 ne fonctionne pas. Sommes-nous exemplaires pour pouvoir attirer les autres ? Actuellement je ne le pense pas. Il convient de se référer aux derniers votes des intercommunalités qui refusent ce projet et de venir vers nous.

Les interrogations et les rejets qui se sont manifestés récemment en témoignent.

 

C’est aussi une des causes de notre interrogation. Cette réforme, c’est aussi la remise en cause des missions de service public avec de grandes collectivités éloignées des citoyens avec la loi du marché qui s’impose, certainement l’arrivée du privé à la place missions suivies aujourd’hui par les syndicats intercommunaux .

C’est aussi un risque pour l’équité entre les territoires, le respect de leur identité et leur nécessaire solidarité.

 

Le temps laissé aux communes et aux EPCI, par  le cadre législatif règlementaire n’a pas permis aux collectivités de mener sereinement les débats qui engagent l’avenir et le devenir des populations. L’absence de visibilité globale des conditions financières et fiscales dans laquelle se réaliserait la mise en œuvre du schéma ne permet de favoriser la construction de projet sur des bases essentielles du rapprochement consenti. L’absence d’engagement positif de l’Etat dans la mise en œuvre de ce projet de réforme du territoire révèle un manque de volonté d’accompagner les collectivités locales dans l’exercice de politiques publiques indispensables pour le bien être des populations et au développement des territoires.

 

Nous sommes également interpellés par les propositions de rationalisation concernant l’assainissement et l’alimentation en eau potable qui ne sont pas entourées de toutes les garanties nécessaires. Les propositions concernant les déchets vont nécessiter la mise en œuvre d’une très grande réorganisation tant des pratiques que des financements avec des  démarches extrêmement longues et coûteuses.

 

Sur l’aménagement des rivières, si la simplification dans un premier temps peut apparaître comme une solution de bon sens, actuellement, il semble très compliqué de déterminer quel sera le pilote dans cet avion qui pilotera ce grand syndicat et qui  sera l’interlocuteur efficace en l’espèce.

 

Nous devons donc mesurer l’intérêt de notre commune et nous placer, hors de tout cadre partisan, c’est le sens que j’entends donner à cette délibération.

 

Compte tenu des éléments qui viennent d’être évoqués en préambule, je propose la délibération suivante :

La Conseil municipal de Jurançon, en date du 25/08/2011 après en avoir délibéré, juge souhaitable un approfondissement de l’intercommunalité actuelle et proposera des avancées notables en ce sens dans les prochaines semaines et se prononce de manière positive pour une rationalisation et une  harmonisation des réseaux des syndicats,

 

-       Toutefois, il s’interroge  sur la définition du périmètre qui en l’état actuel des choses va exclure des communes qui sont des éléments essentiels du développement économique régional et de l’emploi  et de fait occulter la mise en œuvre d’un véritable pôle métropolitain ;

 

-       il désapprouve la méthode, l’absence de débat et de temps laissé aux communes et aux EPCI qui n’a pas permis aux collectivités de mener sereinement des débats qui engagent l’avenir et le devenir des populations et des territoires ;

 

-       il s’inquiète de l’absence de visibilité globale des conditions financières et fiscales dans laquelle se réaliserait ce schéma départemental qui n’est pas de nature à favoriser les projets communs, notamment par l’absence d’engagement positif de l’Etat dans la mise en œuvre de ce projet de réforme qui révèle un manque de volonté d’accompagner les collectivités locales ainsi que l’absence de dispositifs financiers d’incitation qui puissent éclairer la commune quant à ses perspectives financières ;

 

-       il s’inquiète d’une gouvernance qui au travers des textes légaux risque d’éloigner le citoyen des centres de décisions sans lui assurer la garantie d’un service public de qualité ;

 

-       il s’inquiète de l’absence de respect attendu de l’identité et de l’égalité de nos communes qui constituent le socle nécessaire de toute construction intercommunale solidaire ;

 

-       il souhaite que le temps nécessaire soit octroyé afin de consolider la structure intercommunale à laquelle elle appartient actuellement et dans laquelle elle souhaite œuvrer dans un premier temps à son approfondissement ; qu’à cet égard, il est nécessaire de consolider et de structurer notre communauté d’agglomération actuelle avant d’envisager tout élargissement ;

 

Il s’agit d’agir en personne publique responsable en finalisant et approfondissant l’intercommunalité dans sa réalité actuelle par le transfert de compétences nouvelles et la mise en œuvre de projet commun et solidaire afin de lui donner en préalable un socle suffisant ; il s’agit de la rééquilibrer financièrement, afin de permettre à terme, après les élections générales de 2014, un élargissement tenable et durable dans l’intérêt de tous, tel est notre objectif.

L’élargissement dans la précipitation et dans les conditions actuelles de fonctionnement de la CDAPP ne peut que conduire à un échec et les propositions actuelles présentées par l’Etat ne sont pas susceptibles d’assurer les conditions d’un développement équilibré, pérenne et solidaire de notre intercommunalité.

En l’état actuel nous nous prononçons de manière défavorable.

 

 

 

 

 


         Déclaration Janine DUFAU POUQUET

 

 

 

La réforme territoriale votée par les élus de la majorité présidentielle à l'assemblée nationale est loin de faire l'unanimité dans les communes je dirai même que les communes les plus frileuses sont celles liées à la  majorité présidentielle. Il s’agit effectivement d'une réforme menée au pas de charge  avec un calendrier imposé et sans visibilité ni garantie sur le financement. C’est donc bel et bien un nouveau désengagement de l'Etat

 

Concernant les propositions du préfet, le sujet qui nous intéresse c’est bien évidemment l’élargissement de l’agglomération de Pau par l’intégration de communautés de communes voisines. Martine LIGNIERES-CASSOU et les élus de gauche dans leur majorité se sont prononcés pour ce scénario. Notre Mairie n’a pas pris  part au vote. Les élus de gauche se sont prononcés pour un territoire plus fort et plus solidaire là où les élus de droite ne se sont pas montrés à la hauteur des enjeux préférant se complaire dans une logique de villages et de repli sur soi.

 

Car il ne s'agit pas aujourd'hui de reconstituer un puzzle avec les communes existantes  mais d’engager la nouvelle communauté dans une dynamique d’avenir où nos compétences seront partagées et nos services mutualisés. 

L’habitat, les transports, la voirie, l’eau et l’assainissement sont autant de sujets qui ne concernent pas seulement les communes de l’agglomération actuelle mais bien toutes les communes environnantes qui composent l’aire urbaine de Pau.

 

L'exemple de la communauté de Lacq est édifiant : la fusion est un succès et les communes associées au nouvel ensemble bénéficient déjà de nouveaux services comme l’aide aux devoirs ou le tri sélectif.

 

M. le Maire ou plutôt devrais-je dire ici Monsieur le vice-président de la communauté d'agglomération de Pau : vous qui êtes chargé de l'économie pouvez-vous nous dire comment le développement économique de notre territoire peut se faire si nous restons entre nous et que nous n’élargissons pas notre territoire ? Vous avez raison d’appeler de vos vœux l’intégration du bassin de Bordes mais vous êtes dans une totale contradiction puisque vous n’approuvez pas l’élargissement. Pouvez-vous nous dire quel travail votre  commission à l’agglo a engagé pour la mise en place d'industrie nouvelle: quels projets avez-vous suscité à ce jour ? 


Par ailleurs, vous avez récemment affirmé que la communauté d’agglomération serait prochainement en cessation de paiements. Ce n'est pas sérieux c’est un mensonge. D’ailleurs c’est l’élargissement que vous combattez qui permettra aux finances de se fortifier.

 

Le problème de la communauté d’agglomération c’est un problème de gouvernance. Là où l’intérêt communautaire devrait primer, vous y faites, avec vos collègues de droite, de la politique politicienne. 

 

Rendez-vous compte : vous êtes vice-président de la communauté d’agglomération et vous vous prononcez contre la majorité, contre l’intérêt communautaire. En refusant le développement de l’agglomération vous condamnez nos communes à jouer un rôle périphérique là où Jurançon pourrait être un moteur de l’agglo.

 

Nous sommes élus pour un territoire et ses administrés. Il est de notre devoir et de notre responsabilité à nous élus locaux de préparer l'avenir, car cette décision nous projette bien au delà des mandats de chacun d'entre nous,

 

Pour nous c'est un oui mais...




Déclaration de René LAHILLONNE

 

Le débat engagé dans les collectivités est présenté comme un débat d’initiés.

En fait cet énième débat sur les institutions et la décentralisation touche aux fondements de notre démocratie, de notre République.

 

Pour mieux expliquer mon point de vue, une mise en perspective historique me semble un préalable nécessaire.

 

Mon propos en sera exhaustif mais je m’y autoriserai ; je vous en remercie par avance.

 

Pour les français, l’Etat et les communes demeurent les institutions démocratiques les plus reconnues. C’est le fruit de plus de 200 ans d’histoire et la participation des citoyens à ces deux scrutins - assemblée nationale et assemblées communales -  en atteste. Nous pouvons observer que dès que l’on touche à l’Etat ou à la commune, fondements de notre démocratie, les résistances sont nombreuses et pourtant des évolutions ont eu lieu :

des évolutions souvent nécessaires mais avec un déficit démocratique récurrent et préoccupant.

 

 Pour la clarté de mon propos, je soulignerai deux aspects de cette mutation.

 

La France rurale du XVIII et du XIX siècle n’est plus. Prôner l’autonomie des communes est une illusion. De fait, les coopérations intercommunales se sont développées avec des SIVU, des SIVOM, des EPCI - c’est le cas pour les déchets, l’eau, les transports......  Elles ont permis de répondre aux besoins de la population mais aujourd’hui les 266 syndicats de notre département sont une aberration. Les citoyens et la plupart des élus sont dépossédés de tout pouvoir et de toute responsabilité en délégant une compétence à des structures souvent mises en concurrence entre elles ou avec les collectivités. Leur légitimité démocratique est devenue illusoire.  Cette coopération nécessaire a conduit - ce n’était pas inéluctable - à la création de communautés de communes ou d’agglomération avec des villes déléguant nombre de ses compétences. A ce sujet, contrairement à ce qui est souvent dit, notre agglomération a un coefficient d’intégration modeste. Ce qui pose problème, ce n’est pas trop de compétences déléguées mais la forme de gouvernance : un bureau avec seulement des maires venant servir leur commune sans se soucier de conduire des projets de coopération dans l’intérêt de tous.

 

 

D’autre part, le bouleversement essentiel a été la création de l’Europe qui suscite toujours débat. Pour la paix, le développement économique et culturel, le progrès social, c’est l’avancée historique du XXème siècle ce qui n’est pas une approbation de ma part des choix libéraux de l’Europe. La diversité des institutions dans les autres pays européens nous a confronté à des cultures plus fédéralistes ce qui nous a poussé à donner plus de pouvoir aux régions mises en concurrence avec l’Etat mais aussi avec les départements.

 

Aujourd’hui, la loi de décembre 2010 et ce débat s’inscrivent dans un long parcours.

 

Dans ce processus, comment ne pas évoquer l’échec du référendum de 1969 :

en supprimant le Sénat et en créant les régions, il était l’avancée dont la France avait besoin. Dans le contexte historique de 1969, le plébiscite contre De Gaulle a été une opportunité ratée pour l’évolution de nos institutions : c’était il y a 40 ans.

 

L’enjeu étant bien moindre, la proposition d’aujourd’hui suscite le même type de réactions. Certains à gauche, s’y opposent car elle est antidémocratique, sans garantie financière ; à mon sens, ils veulent surtout affirmer fortement leur opposition au président Sarkozy ; d’autres s’y opposent par une attitude conservatrice et réactionnaire sous prétexte de défendre leur commune pour ne pas dire leurs petits privilèges et le front anti Lignères qui s’est affiché à l’agglomération est un pitoyable prétexte.

 

Il aura fallu la loi Deferre de 82-84 créant les régions d’aujourd’hui et surtout supprimant la tutelle de l’Etat aux collectivités, il aura fallu la loi Chevènement de 99 sur les agglomérations pour modifier sensiblement et durablement le paysage institutionnel de notre pays.

La triste loi Pasqua, la loi Voynet sur les pays qui est passée à la trappe ou la dernière loi Raffarin  qui organise mieux l’action sociale ne changeront pas l’esprit de ce mouvement.

 

Aujourd’hui la loi de décembre 2010 supprime les départements et je n’en serai par chagrin mais limite les pouvoirs des régions dans un esprit bonapartiste qui ne souffre pas qu’un pouvoir régional puisse faire de l’ombre au pouvoir central.

Dans un processus peu démocratique, elle incite ou obligera les collectivités à se regrouper mais au final où sont les citoyens ? Bien loin, ils souffrent des orientations ultra libérales du gouvernement Sarkozy, ne se sentent pas concernés mais plutôt dupes du politique.

Les français se détournent de la politique et ne savent plus que choisir. C’est dangereux !

 

Aujourd’hui, les citoyens n’ont que faire de ce débat où on ne les a pas invités, ce sont les élus qui rechignent – les présidents de communautés de communes qui perdent leur leadership, la pléthore de présidents et vice présidents de communautés de communes et de syndicats où chacun regarde son médiocre privilège dans un patchwork de structures concurrentes quand l’enjeu est l’intérêt général d’un bassin de vie.

 

Pour terminer, permettez moi de repenser aux principes qui devraient guider notre action politique, des principes que tous les français comprennent et qui sont les fondements d’une  République sociale et solidaire.

 

Créer du développement, de la richesse en suscitant l’initiative.

Localement, cette action s’organise sur un bassin de vie.

 

Répartir la richesse. Aujourd’hui le dogme libéral valorise l’argent aux dépends du travail et de la création. Cette plaie ronge notre pays et toute l’Europe. Dans cette logique, la loi proposée risque fort de priver les collectivités locales des moyens nécessaires pour se développer. L’austérité exigée sous prétexte de bon sens frappe les ménages, elle frappe aussi les collectivités ce qui appauvrit le pays.

 

Le dernier volet est sûrement la démocratie qui permet aux citoyens de notre pays d’être acteurs de leur destin. Nous avons besoin d’institutions lisibles – Europe. Etat. Région. Agglomération. Ville – avec des élections démocratiques à la proportionnelle permettant à la diversité des sensibilités de s’exprimer. Nous avons besoin d’élus responsables, des compétences clairement attribuées, d’élus responsables de leurs actes devant les citoyens pouvant comprendre des compromis mais aussi exiger des changements.

Je terminerai par un enjeu important à mon sens. La commune a toujours été le creuset de la démocratie de proximité ; nous devons construire une démocratie de proximité qui permette à chacun de se sentir écouté, entendu. Cette démocratie est à inventer dans les villes et les villages, dans les quartiers, dans les entreprises et dans notre agglomération, par une décentralisation des services pour retrouver dans une logique de coopération, des services publics de proximité et des élus de proximité garants des intérêts particuliers et de l’intérêt général.

 

Comme contribution à ce débat, l’ensemble des élus de l’opposition vous propose un avis au préfet que nous souhaitons soumettre au vote de notre assemblée.

 

 

MOTION PROPOSEE PAR R. LAHILLONNE AU  CONSEIL MUNICIPAL DE JURANÇON

 

 

Après débat sur la proposition de Schéma de Coopération Intercommunale, le conseil municipal réuni ce 25 août 2011 tient à se manifester :

 

-          Contre les méfaits de la politique libérale du gouvernement Sarkozy

 

-          Contre la méthode antidémocratique proposée aujourd’hui sur un sujet touchant aux fondements de nos institutions

 

-          Pour une autre répartition de la richesse, une réversion juste aux collectivités locales nécessitant un volet financier pour engager les collectivités à se regrouper.

 

-          Pour le périmètre proposé en y rajoutant la Communauté de Communes de la Vath Vielha.

 

-          Pour la prise de compétence « eau » par l’agglomération et la création d’un syndicat de l’eau correspondant à ce périmètre.

 

-    pour que le syndicat du gave intègre l’ensemble du bassin versant et que les EPCI concernés prennent cette compétence et se dotent des moyens nécessaires.

 

-          Pour développer une synergie Pau – Lacq – Tarbes – Lourdes, socle d’un pôle de développement du Sud-Ouest de la France.

 

 

 

Monsieur le Maire souhaite commenter les interventions politiques.

Concernant l’intervention de Mme DUFAU.

Je suis surpris car habilement vous avez pris une posture politique en mettant d’un côté la Gauche et de l’autre la Droite. C’est une posture qui n’a pas lieu d’être dans ce débat. Tout d’abord, vous êtes membre du Parti Socialiste et vous n’ignorez pas que la 30ème proposition de votre parti s’est l’abrogation de cette loi, vous m’expliquerez comment voter favorablement dans une loi que votre parti a décidé d’abroger. Ensuite, quand on analyse le questionnement sur la communauté d’agglomération, j’ai un souci car autour de la table vous avez des élus Communistes (Mr DARTIGOLLES), des élus de Gauche (Mr LAINE), des élus modérés, ce n’est donc pas simplement l’affrontement de la droite contre la Gauche. Le fond du problème c’est que je suis un vrai communautaire, mais nous avons un problème de gouvernance au sein de la CDA PP. Dans la proposition que j’adresse ce n’est pas une proposition pour ou contre quelqu’un, c’est avant d’arriver en 2014 aux élections générales, qu’on aille vers un approfondissement en mutualisation, en terme de compétences, qu’on quitte ce socle de 0,29 qui ne veut rien dire, pour aller vers un socle de 5,50 et qu’à partir de là, on puisse construire une véritable intercommunalité. Je partage votre sentiment concernant le mille feuilles administratif. On est tenu par une vraie rationalisation. Ma position n’est pas une position de défendre un intérêt ni catégoriel ni d’un petit territoire. Je m’inscrits dans une autre perspective. La preuve, c’est mon souci d’avoir un bassin de développement économique qui intègre Serres-Castet et la zone de Bordes. Il ne faut pas prendre de posture politique. Si les élus modérés refusent cette réforme alors même que les élus nationaux l’ont acceptée, c’est que l’analyse que vous faites, nous la partageons mais nous avons un problème spécifique dans la CDA PP, il n’est pas lié à Mme LIGNIERES-CASSOU, c’est un problème de gouvernance général. C’est ce problème de bureau des Maires qui n’est pas acceptable. C’est aussi les choix faits depuis 3 ans. Etre responsable, c’est dénoncer des méthodes. Il faut dire que la CDA PP fonctionne mal (explosion des frais de fonctionnement, fuite des cadres, …). Mon objectif d’ici 2014, c’est d’amener cette ville dans laquelle les jurançonnais se sentent bien et dans laquelle ils se sentent bien dans la CDA PP. Mais pour cela il faut réaliser un travail de fond, d’assainissement financier. Effectivement dans ce débat, il y a la réduction des syndicats, qui est une page très positive, mais le cœur du dossier c’est pour cela que j’émets un avis défavorable, c’est pour susciter du débat, telles que les choses se sont passées, il y a une volonté communautaire de travailler ensemble et actuellement la CDA PP est en panne. Il faut que nous mettions à plat un certain nombre de difficultés sans jeter d’acrimonie, pour retravailler ensemble. Je trouve que ce débat a une certaine importance, mais il a été galvaudé c’est dommage. Je veux un véritable approfondissement pour aller de l’avant sur un certain nombre de compétences.

 

René LAHILLONNE

Je trouve votre attitude Mr le Maire très défensive, car au regard de l’enjeu pour la ville de Jurançon, ce dernier est mineur et on est acteur de ce qui peut changer. Mais vous êtes inquiet. Il faut pour moi, que les villes qui sont déjà en place puissent faire bouger les choses par leurs propositions.

Il ne faut pas être sur le reculoir, il faut être en mouvement et aller de l’avant.

 

Janine DUFAU

Le Parti Socialiste a voté contre ce projet. Nous sommes contre car ce dossier a été traité dans la précipitation mais aussi à cause du coût du financement. Par contre, nous sommes d’accord pour dire que s’il y a un projet, on le met en commun, on se regroupe et on avance. Nous sommes d’accord sur le fait que les choses doivent changer.

 

Monsieur le Maire revient sur le projet du Parti Socialiste et sur l’article visant à abroger cette loi. Il en est de même pour le parti communiste.

Nous avons un réel problème quant au devenir de notre CDAPP, il faut impérativement que pendant les 20 mois qui arrivent, nous approfondissions à marche forcée. Nous sommes à 0,29 nous avons beaucoup trop de retard. La difficulté de cette loi c’est qu’elle tombe comme un couperet car nous avons du retard, pour les autres cas, elle joue un rôle d’accélérateur.

 

Damien CONNIL 

Ce projet présente à mes yeux deux points. Un point positif, c’est l’effort fait dans ce projet sur la rationalisation des syndicats intercommunaux. Un réel effort (insuffisant) mais un vrai effort est fait. Finalement avec le mille feuilles administratif que l’on a on a un double problème : trop de feuilles, mais des feuilles qui ne se correspondent pas les unes les autres. C’est déjà un premier pas que nous propose le Préfet avec le schéma de coopération intercommunale. Pour autant et c’est le manque qui me paraît capital, on construit la machine intercommunale à l’envers. Le déficit démocratique des structures intercommunales ne nous permet pas d’avoir une visibilité et une lisibilité et une compréhension de ces structures et cette seule raison là, suffit à me faire voter contre ce projet.

 

 

 

Monsieur le Maire soumet au vote le projet présenté par la Majorité.

 

Le conseil municipal se prononce de manière défavorable par 21 voix pour et 6 voix contre (J. DUFAU, M. COMMENGES, P. SOUBIES, M. CASTA BLANC, R. LAHILLONNE, M. GEROMET).

 

 

Dans un second temps, il présente au vote la motion proposée par Monsieur R. LAHILLONNE. Cette proposition n’ayant obtenu que 6 voix pour, a été rejetée.

 

 

 

 

 

 

L’ordre du jour étant épuisé, la séance est levée.

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8 septembre 2011 4 08 /09 /septembre /2011 22:40

 

             L’an deux mille onze et le dix sept Juin à dix huit heures, le Conseil Municipal de cette Commune,                                          régulièrement convoqué par convocation adressée le 8 juin 2011, et affichée le même jour, s’est réuni au nombre prescrit par la loi, dans le lieu habituel de ses séances sous la présidence de Monsieur Michel BERNOS, Maire.

 

Présents :         Mesdames MANUEL, SABROU, ROTH, CASENAVE, HERNANDEZ,  CASSOU, BERCAIRE, CARRAZ-SANSOUS, HAKIMI RIFKI, DUPARCQ, COMMENGES, CASTA-BLANC, DUFAU POUQUET, SOUBIES,

                        Messieurs BERNOS, LASSALLE, LOUSTAU, DURROTY, FOURNIER, CAYERE, CONNIL, LAHILLONNE

Absents avec Pouvoirs :

Mr MALO pouvoir à Mr LASSALLE

Mme MEDAN pourvoir à Mme CARRAZ SANSOUS

Mr AUBRUN  pouvoir à Mme HERNANDEZ

Melle PEYRAN pouvoir à Mr FOURNIER

Mr BANIZETTE pouvoir à Mme CASTA BLANC

Mme GEROMET pouvoir à Mr LAHILLONNE

Absent :                                 

Secrétaire :      Madame CAZENAVE

 

 

Après avoir procédé à l’appel des élus, Madame CASENAVE est désignée comme secrétaire de séance.

 

Il est procédé à l’examen de l’ordre du jour suivant :

 

ORDRE DU JOUR

1.     Elections Sénatoriales

 

2.     Plan de résorption des décharges sauvages : convention de mandat pour la réhabilitation du site de « Nougué »

3.     Convention relative à la réalisation de travaux pour l’insertion du réseau de Télécommunications sur la Commune de Jurançon

 

 

 

 

1.     Elections sénatoriales : élection des délégués et des suppléants (pour élection des sénateurs le 25 septembre 2011)

 

Rapporteur : Monsieur le Maire

 

 

Le décret n°2011-530 du 17 mai 2011 portant convocation des collèges électoraux pour l’élection des sénateurs est paru au journal officiel du 18 mai 2011.

 

L’article 4 de ce décret indique que tous les conseils municipaux sont convoqués le vendredi 17 juin 2011 afin de désigner leurs délégués et suppléants.

 

Le conseil municipal de Jurançon a donc organisé l’élection de ses délégués (15) et suppléants (5) qui voteront pour élire les sénateurs le 25 septembre 2011.

 

L’élection s’est opérée  sans débat au scrutin secret, élection à la représentation proportionnelle à la plus forte moyenne sans panachage ni vote préférentiel.

 

L’élection des délégués et celle des suppléants a eu lieu simultanément sur une même liste.

 

Deux listes ont été déposées :

liste 1 : « Mieux Vivre Jurançon »

 

1.       BERNOS Michel
9 Rue Keuzburg – 64110 JURANÇON
Né le 16/08/1959 à Jurançon

2.       LASSALLE Dominique
Côteaux de Guindalos – 64110 JURANÇON
Né le 13/08/1946 à Pau

 

3.       MANUEL Josiane
10 Avenue Bernadotte – 64110 JURANÇON
Née le 04/03/1942 à Tarbes

 

4.       LOUSTAU Robert
143 Avenue Rauski – 64110 JURANÇON
Né le 13/10/1953 à Jurançon

5.       MEDAN Stéphanie
6 rue Romain Trésarieu – 64110 JURANÇON
Née le 20/07/1974 à Pau

6.       CASSOU Elisabeth
Quartier Chapelle de Rousse – 64110 JURANÇON
Née le 19/09/1954 à Jurançon

7.       CARRAZ SANSOUS Cécile
19 avenue de Gelos – 64110 JURANÇON
Née le 13/01/1965 à Pau

8.       HERNANDEZ Mauricette
24 rue P-Auguste Renoir – 64110 JURANÇON
Née le 09/02/1953 à Echillais (17)

9.       CONNIL Damien
6 Rue Louis Daran – 64110 JURANÇON
Né le 30/01/1984 à Bordeaux

10.    CASENAVE Henriette
11 rue du Néez – 64110 JURANÇON
Née le 21/08/1951 à Jurançon

11.    BERCAIRE Isabelle
21 rue Romain Trésarieu – 64110 JURANÇON
Née le 24/10/1954 à  Pau

12.    RIFKI Zahra
23 avenue Gaston Cambot – 64110 JURANÇON
Née le 27/02/1965 Casa Blanca (Maroc)

13.    FOURNIER Bernard
4 avenue Bernadotte - 64110 JURANÇON
Né le 13/04/1953 à Trélissac (24)

14.    DURROTY Bruno
24 clos Dumoulou – 64110 JURANÇON
Né le 27/09/1961 à Bayonne

15.  CAYERE Jean-Luc
19 avenue Charles Touzet – 64110 JURANÇON
Né le 31/05/1960 à Pau

 

16.    AUBRUN Robert
24 rue Michel de Coulom – 64110 JURANÇON
Né le 29/10/1944 à Livry Gargan (93)

 

17.    ROTH Brigitte
1 rue Georges Guynemer – 64110 JURANÇON
Née le 30/02/1959 à Jurançon

 

18.  SABROU Christine

5 rue Massenet – 64110 JURANÇON

Née le 25/09/1965 à Pau

 

19.  MALO Serge

11 Place Paul Mirat – 64110 JURANÇON

Né le 18/05/1954 à Bedous

 

20.    DUPARCQ Marie-Noëlle
ZAC du Vert Galant – 64110 JURANÇON

Née le 14/09/1969 à Oloron Ste Marie



liste 2 : « liste de Gauche ».

 

 

1.       Janine DUFAU-POUQUET  
1 7 Rue Ollé Laprune - 64110 Jurançon
née le 14/10/50 à Pau

 

2.       René  PEDEHOURCQ-LAHILLONNE   
21 rue Renoir - 64110 Jurançon
né le 16/06/52 à Pau

 

3.       Marie Madeleine COMMENGES 
3 av d'Ossau  - 64110 Jurançon
née le 27/09/47 à Salles d'Angles (16) 

 

4.       François BANIZETTE
35 rue de Guindalos - 64110 Jurançon
né le 9/03/60 à Cauderan (33)

 

5.       Mireille GEROMET             
10 avenue Jeanne d'Albret - 64110 Jurançon
née le 19/12/57 à Mirande (32)

 

6.       Michèle CASTA BLANC
6 avenue Jeanne d'Albret - 64110 Jurançon
née le 31/05/66 à Pau

 

7.       Pascale SOUBIES
8 rue Jean moulin - 64110 Jurançon
née le 14/10/70 à Pau

 

 

L’assemblée procède à  au vote.

 

Monsieur CONNIL et Madame SOUBIES – les plus jeunes élus de l’assemblée - procèdent au dépouillement du scrutin.

 

 

Proclamation des Résultats :

-       liste 1 : « Mieux Vivre Jurançon » : 21 voix soit 12 sièges (délégués) et 4 suppléants

-       liste 2 : « liste de Gauche ». : 7 voix soit 3 sièges (délégués) et 1 suppléant

 

La liste des délégués et suppléants élus est la suivante :

 

Délégués :

 

BERNOS Michel
LASSALLE Dominique

MANUEL Josiane
LOUSTAU Robert
MEDAN Stéphanie
CASSOU Elisabeth
CARRAZ SANSOUS Cécile
HERNANDEZ Mauricette
CONNIL Damien
CASENAVE Henriette
BERCAIRE Isabelle
RIFKI Zahra
Janine DUFAU-POUQUET  
René  PEDEHOURCQ-LAHILLONNE       
Marie Madeleine COMMENGES     

Suppléants :

FOURNIER Bernard
DURROTY Bruno
CAYERE Jean-Luc
AUBRUN Robert
François BANIZETTE


 

Les élus présents acceptent le mandant qui vient de leur être proposé. Les élus non présents lors de cette séance devront accepter ce mandat par écrit.

 

 

 

3.     Plan de résorption des décharges sauvages : convention de mandat pour la réhabilitation du site de « Nougué »

 

Rapporteur : Monsieur le Maire

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